Nos livres font parler d'eux

Un léger désir de rouge

C'est un roman qui, comme un parfum, va vous séduire. On a l'impression de sentir une odeur avec plusieurs notes. Des notes aigres-douces, des notes coups de poing.

Iris Teste, CIBL (le 4@6)

Marie-Anne

Un livre d'histoire qui se lit comme un roman... C'est une histoire fascinante et véridique.

Marie-Pierre Michaud, Axion Magazine

Depuis les cendres

L'idée du manque est vraiment bien amenée. Toute en pudeur. C'est touchant et très réussi. Un livre troublant. L'écriture est très métaphorique, pleine de belles images.

Aude Jimenez, Radio-Canada International (Tam Tam Canada)

Un léger désir de rouge

C'est tout en douceur et sur un ton intimiste que l'auteure nous entraîne dans ce drame de la vie de la jeune acrobate.

Claire Lévesque, Le sans papier

Un léger désir de rouge

Une écriture sensible, à la fois douce et bouleversante, empreinte d'images fortes.


C'est un roman touchant qui nous happe jusqu'aux tripes. Un bijou de littérature à lire.

Valérie Côté, Destination ville de Québec

Un léger désir de rouge

Ce beau petit roman, aux effluves poétiques, amène le lecteur aux plus profonds de ses propres sentiments. Ces émotions souvent fort troublantes qu'apportent la maladie et surtout, le cancer sont portés ici à bout de bras par la plume splendide et sensible d'Hélène Lépine.

Billy Robinson, Culturils

Un léger désir de rouge

Tout dans ce roman résonne, rebondit et donne au lecteur une furieuse envie d'enchantement.

Jade Bérubé, Entre les lignes

Destins de pêcheurs

À lire, pour affûter la connaissance de nos provenances, pour rendre à l'Histoire les hommages nécessaires.

Renald Bérubé, Lettres québécoises

Un léger désir de rouge

Rien de comparable dans mon souvenir. Pour ce qui est du style, de la façon de raconter, je veux dire. C'est le genre de livre qui s'insinue en vous, voilà ce que je veux dire.


C'est dur, cruel, sombre. Et pourtant, la beauté. La beauté est partout. Dans le choix des mots, l'enchaînement des phrases, les images récurrentes.


Ça ressemble à une fable par moments. Une fable de la noirceur. Avec sa propre cosmologie. Avec des images fortes, des métaphores qui s'accrochent, virevoltent, vont et viennent, reviennent.


Le tour de force ici : l'émotion sans cesse contenue. Pas de mélo. C'est-à-dire, oui : Toulouse pleure, rage, angoisse, crie, souffre. Mais non : ce n'est pas le genre de livre, malgré la gravité du sujet traité, qui arrache les larmes. Ce n'est pas là que ça se situe.


C'est dans ce qui échappe que ça se passe. Dans la façon dont Hélène Lépine s'aventure hors des sentiers battus. Dans la façon dont elle atteint la beauté, la crée.

Danielle Laurin, Le Devoir

Hiver à Cape Cod (L')

Un beau récit intime et humain.

Christiane Melançon, Bon pied, bonne heure (SRC Gaspé)

Duplessis, son milieu, son époque

Cet ouvrage s'impose comme une référence dans l'étude du duplessisme. Le livre se veut un guide pour ceux et celles qui veulent entreprendre des recherches sur Duplessis. Sa principale qualité est de faire cheminer le lecteur à travers une série de questions qui lui permettront d'en connaître davantage sur le duplessisme. Duplessis, son milieu, son époque trace ainsi la voie aux travaux à venir en plus de constituer une incitation à la poursuite des recherches sur ce personnage politique controversé.

Nicholas Toupin, Bulletin d'histoire politique

Depuis les cendres

Emmanuel Bouchard nous revient avec un premier roman dans lequel le lecteur retrouve avec plaisir la finesse de son écriture en même temps que son souci du détail révélateur.


Ce roman touche et émeut, surtout lorsqu'il expose l'impuissance de tous face à la maladie de ce père-héros qui semble n'avoir jamais perdu un combat, n'avoir jamais reculé. L'écriture se fait alors précise et tendre.


Ce roman est beau et touchant. Comme tout ce qui réussit à survivre à la mort.

Chantale Gingras, Québec français

Dévorante (La)

La Dévorante est un récit intimiste et criant de vérité qui plonge le lecteur, l'espace d'un été, au coeur du quotidien de la vie d'une femme de près de cinquante ans qui éprouve toujours, malgré les blessures du passé, le désir brûlant de partager sa vie avec un homme. Bien que le roman soit composé de courts fragments sans ponctuation, la prose de Dion est fluide, rythmée et sans temps mort. Le lecteur, peu importe son âge, est interpellé par les réflexions sur l'amour jetable, la peur de mourir seul et les diktats de la beauté imposés à un corps vieillissant.

Maude Couture, Québec français

Aventures de Radisson, t.1 (Les)

C'est avec franchise et sensibilité que ce roman historique vient nous chercher en tant que lecteur. Martin Fournier a trouvé une façon d'écrire un roman jeunesse qui respecte l'intelligence de ses lecteurs.

Pascale Andréa Nze, CKRL (Encrage)

Virilité en jeu (La)

Étudier les perceptions que les jeunes ont des gais en prenant pour point de départ leurs propres mots, leurs propres associations d'idées et leurs propres expériences est une démarche cruciale, cela permet de déterminer si leurs attitudes découlent de leur socialisation ou si elles émanent irrémédiablement d'une quelconque nature d'homme.

Paul-François Sylvestre, L’Express (Toronto)

À la hache et au scalpel

Par son choix indiqué d'articles exemplaires, Michel Lévesque réussit à montrer le caractère unique du devoir, sa fière indépendance. Avec humour, un avertissement est placé en quatrième page de garde : "Toute ressemblance avec quelques situations, événements récents, sujets d'actualité ou personnalités publiques actuelles est tout à fait fortuite." En effet, les thèmes qui prévalaient à l'époque sont toujours aussi actuels.

Anne Trépanier, Relations