Nos livres font parler d'eux
Patriotes vus par Lionel Groulx (Les)
Lire Groulx, c’est aussi redécouvrir celui qui fut notre premier grand historien professionnel. Ses cours universitaires sur les patriotes sont remarquablement rédigés, mais ne relèvent pas seulement de la littérature. L’homme travaille avec des sources primaires qu’il tente d’interpréter avec impartialité. Bien sûr, il est prêtre, nationaliste et conservateur, ce qui influence son propos, mais le souci d’objectivité l’anime au premier chef.
Louis Cornellier, Le DevoirVengeance des mal-aimés (La)
Le recueil est bien documenté et très agréable à lire. On y découvre des pans intéressants de notre histoire judiciaire en ces époques de peine capitale, mais aussi, indirectement, de notre histoire en général. J’ai beaucoup aimé.
Bruno Marquis, Presse-toi à gauche!Vengeance des mal-aimés (La)
Raymond Ouimet, chroniqueur d’histoire à différents médias et conteur né, puisant parmi les archives criminelles, tirant le meilleur des journaux de l’époque, révélant la richesse et la saveur des témoignages du temps [...] nous partage trois récits terribles qui ont fait les manchettes au siècle dernier, des récits d’hommes rabaissés, épuisés, ne trouvant nulle autre porte de sortie, sans penser aux conséquences de leur acte, que d’éliminer ces êtres : membres de leur famille, collègues de travail et sources, pensent-ils, de leurs malheurs.
Christian Vachon, Librairie PantouteVengeance des mal-aimés (La)
,Plume, Pierrot et moi
Au-delà de dépeindre le profond clivage qui s’était créé à l’époque entre les freaks aux cheveux longs – “les pouilleux” –, et les straights, son livre plonge les lecteurs, avertis ou pas, dans un récit marqué par une amitié avec Plume Latraverse et une jeunesse enthousiaste vibrant en marge de l'establishment.
Laurence Gallant, Radio-CanadaUne histoire des Franco-Canadiens des Prairies (1910-1962)
Raymond Denis, natif de la Saintonge, en France, et arrivé en Saskatchewan en 1904, a été un acteur majeur des combats pour les droits francophones de 1910 à 1950, notamment pour les écoles et pour la création de stations de radio en français. Ces mémoires rappellent que, 75 ans plus tard, ces luttes sont toujours d'actualité.
Alex Sinhan Bogmis, Radio-CanadaToponymie (La)
D’une valeur incontestable, ce livre se distingue par sa clarté, la richesse de sa documentation et son érudition. Il s'adresse non seulement aux linguistes, aux géographes et aux historiens, mais également à toute personne curieuse d'en connaître davantage sur la toponymie. Chacun y trouvera matière à s'étonner.
Carol J. Léonard, Cahiers de géographie du QuébecPlume, Pierrot et moi
Mais Plume, Pierrot et moi, c’est bien plus que l’histoire de la Sainte-Trinité. C’est un véritable portrait d’époque, parsemé de photographies et d’archives, qui ravivera la mémoire de celles et de ceux qui l’ont vécue et qui les ravira, je n’en doute aucunement. Il « instruira » aussi les plus jeunes, férus d’histoire — dont celle dite « sexe, drogue et rock’n’roll» —, qui aiment savoir d’où ils viennent pour mieux voir où ils vont.
Jacques Bérubé, Le Mouton noirVengeance des mal-aimés (La)
Passionné d’histoire et de généalogie, Raymond Ouimet a puisé dans les archives judiciaires et dans la presse du début du XXe siècle pour revisiter trois affaires criminelles ayant fait à leur époque couler beaucoup d’encre, mais ayant depuis sombré dans l’oubli. [...] L’ouvrage de ce passionné d’archives fourmille de renseignements historiques.
Paul-François Sylvestre, J'ai lu pour vousPawatik
Pawatik se veut un outil de transmission. Ce livre thématique s’adresse principalement aux jeunes, pour qu’ils connaissent leur passé et l’importance du territoire anicinabe, mais également aux aînés pour qu’ils puissent perpétuer leur culture. Il s’adresse aussi à tous les non-Autochtones qui peuvent devenir leurs alliés.
Virginie Soffer, Udem NouvellesÀ boire!
S’appuyant sur une solide érudition mais soucieuse de clarté, Ferland — qu’on connaît pour Bacchus en Canada ou La Corriveau — livre un récit à la fois savant et accessible qui éclaire l’évolution des mœurs, des goûts et des pratiques sociales. Un livre à lire sans modération.
Ismaël Houdassine, Le DevoirPlume, Pierrot et moi
Le livre autobiographique vendu à plus de 1500 exemplaires représente bien plus qu’une période forte du Québec. C’est une bible remplie de souvenirs pour l’ancien membre de Sainte-Trinité qui fera dans les prochains mois une tournée des salons du livre à travers la province.
Francis Gallant, TVA NouvellesAcadie avant astheure (L')
L’histoire est un arbre qui ne cesse de grandir. Encore faut-il l’arroser de notre curiosité et de l’éclairer de nos recherches. C’est exactement ce que fait Marc Poirier dans le recueil intitulé L’Acadie avant astheure.
Paul-François Sylvestre, L’Express (Toronto)Churchill et Roosevelt à Québec
C'est un ouvrage à partager avec les jeunes afin qu'ils apprennent l'histoire de leur pays, de leur continent, de leur rue, des différents pays, les états-majors, pour enrichir leur connaissance de l'histoire du Québec, des guerres.
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMYWCA Québec
Le livre, soutenu par une facture graphique colorée et attrayante, donne aussi une large place aux témoignages de femmes ayant fréquenté ou travaillé à la YWCA. Au-delà de l'histoire de l'organisme, l'ouvrage offre un éclairage précieux sur l'évolution des droits des femmes et les dynamiques de modernisation sociale au Québec.
Mattheu Dessureault, ULaval nouvellesYWCA Québec
L’implication de la Young Women’s Christian Association (YWCA) de Québec ne date pas d’hier. Dans un nouveau livre, la professeure titulaire retraitée de l’Université Laval, Johanne Daigle, nous plonge dans la mission de cet organisme qui vient en aide aux femmes depuis 1875. Spécialiste de l’histoire des femmes et de l’histoire sociale au Québec (19e et 20e siècles), Mme Daigle y dessine également l’évolution des droits des femmes et de la société québécoise.
Léa Harvey, Le Soleil