... Voir Arnaud Balvay, L’Épée et la plume, Amérindiens et soldats des troupes de la Marine en Louisiane et au Pays d’en Haut (1693-1763), Québec, Presses de l’Université Laval, 2006, chapitre « La petite guerre ou la “guerre à la sauvage” », p. 150-159, ...

1763. Le traité de Paris bouleverse l'Amérique
... Maxime Gohier, Onontio le médiateur, La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France, 1603-1717, Québec, Septentrion, 2008. ...
... Cité dans Jacques Lacoursière, Jean Provencher et Denis Vaugeois, CanadaQuébec, 1534-2010, Québec, Septentrion, 2011, p. 91. ...
... … En mai 1756 débarque à Québec un nouveau corps expéditionnaire commandé par Louis-Joseph de Montcalm et portant les troupes de terre à un peu moins de 8 000 hommes. ...
... La victoire de Carillon le 8 juillet 1758 et la défaite des plaines d’Abraham devant Québec le 13 septembre 1759 sont en effet des oppositions classiques entre troupes régulières. ...
... Le 13 septembre 1759, le général anglais James Wolfe fait débarquer ses troupes et les positionne à l’ouest des plaines d’Abraham, devant la ville de Québec. ...
... entre 1760 et 1774, Québec, Septentrion, coll. « Les cahiers du Septentrion », 2002. ...
... Jacques Mathieu, La Nouvelle-France en Amérique du Nord, XVIe-XVIIIe siècle, Québec et Paris, Les Presses de l’Université Laval et Belin, 1991, p. 50. 45. M. Gohier, Onontio le médiateur, op. cit., p. 12. 46. ...
... 86 1763 parisien, Edmond-Jean-François Barbier : « Les Anglois ont fait le siège de la ville de Québec et s’en sont enfin rendus maîtres. La capitulation, avec les honneurs de la guerre, est du 18 septembre. ...
... De nouveaux commandants, Amherst et Wolfe, conduisent leurs hommes à la victoire à Louisbourg en 1758, à Québec en 1759, tandis que plusieurs îles des Antilles tombent aux mains des Britanniques. ...