... Si la Cour avait adopté ses vues – et que le gouvernement anglais avait joué le jeu, ce qui est loin d’être certain –, la marine anglaise aurait rebroussé chemin après la prise de Louisbourg, Québec ne serait pas tombée, Montréal n’aurait pas capitulée ...

1763. Le traité de Paris bouleverse l'Amérique
... Les Anglais contrôlent désormais l’estuaire du Saint-Laurent et peuvent naviguer librement jusqu’à Québec. Depuis le début de entre les dynasties française et autrichienne. ...
... Ville et protestantisme dans l’aire atlantique, XVIe-XVIIe siècle, Paris-Poitiers, Imprimerie Nationale et MSHS, 2001, p. 219-239. ...
... Les Français en Amérique du Nord, XVIeXVIIIe siècle, Paris et Québec, Belin et PUL, 1991, p. 141. ...
... Cela ne veut pas dire que la Nouvelle-France ne connaît pas des signes de développement économique avec notamment un renforcement des échanges entre la campagne et les villes par voies terrestres (la route entre Montréal et Québec est terminée en 1735 ...
... D’autant que les sucres, la mélasse, le tafia et autres produits des Caraïbes peuvent trouver une clientèle à Québec et à Montréal28. ...
... Les livraisons pour l’État permettent de faire entrer sans droits les cargaisons privées dont le prix de vente est fixé à Québec par le contrôleur général de la marine33. ...
... François Ternat, « L’autre bataille de Québec : sauver la Nouvelle-France par la négociation ? », dans Laurent Veyssière et Bertrand Fonck (dir.), La guerre de Sept Ans en Nouvelle-France, Québec, Septentrion, 2012, p. 71 et suiv. ...
... Dans la lettre jointe adressée à Choiseul, les négociants rochelais défendent la légitimité de leur ville à soutenir la cause du Canada : « Vous savez Mgr que notre commerce avec le Canada qui datte de la naissance de la colonie, la continuité de notre ...
... 126 1763 Le sort du Canada, pris au sens large des possessions nordaméricaines hors Louisiane, n’était pas scellé après les capitulations de Québec puis de Montréal. ...