... Ils réussissent à obliger Champlain à passer l’hiver chez eux, en prétextant l’absence de canots disponibles pour le reconduire à Québec. ...

À la rencontre des Algonquins et des Hurons
... Champlain n’hésite pas à revenir vivre dans sa cabane, à Cahiagué, et lorsque le printemps est de retour, il part avec lui et le père Le Caron pour se rendre à la traite aux Trois-Rivières et, de là, à Québec, où ils arrivent le 11 juillet 1616. ...
... Au printemps suivant, il retourne à Québec et rentre presque immédiatement en France, où il arrive le 10 septembre 1616. L’année suivante, il arrive à Tadoussac le 14 juin, mais est de retour à Paris dès le 22 juillet. ...
... En 1617, deux membres du personnel de l’habitation de Québec, partis pour une excursion de chasse, sont tués par deux indigènes. ...
... Ces guerriers accompagnent la délégation envoyée à Québec pour tenter de rétablir la paix avec les Français. La perspective d’une attaque surprise des Montagnais est alors prise au sérieux. ...
... Champlain y raconte tout d’abord son départ d’Honfleur le 24 mai 1618, le meurtre de deux Français de Québec par des Montagnais en avril 1617, la découverte des corps l’année suivante et l’impossibilité de condamner les coupables à l’occasion de la traite ...
... Enfin, Champlain termine par le récit de son retour à Québec, puis à Honfleur le 28 août suivant. Le privilège d’imprimer est daté du 18 mai 1619, mais la rédaction de l’ouvrage était déjà alors presque achevée. ...
... Le fondateur de Québec peut de nouveau séjourner sur les bords du Saint-Laurent. ...
... On sait pourtant que de 1604 à 1613, tant en Acadie qu’à Québec, l’évangélisation des Amérindiens n’a guère été une préoccupation de Champlain et de son supérieur hiérarchique, Dugua de Mons : deux prêtres et un pasteur étaient bien à leurs côtés lors ...
... Enfin, il est celui qu’ont élaboré, à Québec en juillet 1616, les quatre récollets venus avec Champlain. ...