... Et continuant mon discours, nous trouvâmes le père Joseph qui s’en retournait à Québec, comme j’ai dit ci-dessus, pour se préparer et prendre ce qui lui était nécessaire, afin d’aller hiverner dans le pays, ce que je ne trouvais pas à propos pour le moment ...

À la rencontre des Algonquins et des Hurons
... Ayant mis ordre à toutes choses audit Québec, je pris deux hommes avec moi et m’en retournai à la rivière des Prairies, pour m’en aller avec les Sauvages, et je partis de Québec le quatrième jour de juillet, et le huitième dudit mois, étant sur le chemin ...
... Pour l’emplacement de ce fort, le site du Carousel Shopping Mall de la ville de Syracuse, dans l’État américain de New York, apparaît aujourd’hui le plus vraisemblable (Fischer : 615-616). ...
... Ci-devant est représenté comment ils fortifient leurs villes, et par cette figure on peut entendre et voir que celles des amis et ennemis sont semblablement fortifiées. ...
... Ils commençaient à bâtir deux villages, par où nous passâmes, au milieu des bois pour la commodité qu’ils trouvent d’y bâtir et enclore leurs villes. ...
... L’Algonquin Yroquet préférait conduire les Népissingues à Québec plutôt que de les voir mettre en contact direct les Français avec leurs partenaires cris de la baie James. ...
... L’habitation de Québec. 193. L’Arendarhonon Darontal. 194. « Et deux cents par endroits de largeur du Midi au Septentrion » dans l’édition de 1632 (Champlain, 1632 : 1re partie, 281). 195. ...
... De plus, ils font des assemblées générales, à savoir des régions lointaines, d’où il vient chaque année un ambassadeur pour chaque province, et ils se retrouvent dans une ville qu’ils nomment, qui est le rendez-vous de toute l’assemblée, où il se fait ...
... jusqu’au mois d’avril, quand les arbres commencent à pousser leur sève dehors et à montrer leurs bourgeons. 239. « Ils pratiquent en quelques-uns de leurs villages ce que nous appelons en France porter les momons, car ils défient et invitent les autres villes ...
... Sagard fournit quelques précisions : « Ce bon père [Joseph Le Caron] partit donc de son village pour Québec le 20e jour de mai 1616 dans l’un des canots hurons destinés à descendre à la traite, et ils firent tant par leur diligence qu’ils arrivèrent aux ...