... Ils lui apportent « d’assez bonnes nouvelles », disant qu’au début de l’été 1612 plus de deux cents Amérindiens se sont présentés aux rapides de Lachine pour faire la traite avec lui, qu’ils ont été très déçus par son absence (Champlain était retenu en ...
À la rencontre des Algonquins et des Hurons
... 10 à la rencontre des algonquins et des hurons il a du mal à croire que des Anglais ont enfin atteint la « mer du Nord », et que surtout dix-sept journées suffisent pour y parvenir en partant des rapides de Lachine et en remontant la rivière des Outaouais ...
... Les Rochelais préfèrent faire cavaliers seuls et armer leur propre navire : ils ne croient plus au maintien du monopole de la traite des fourrures. ...
... Celui-ci a accepté de prendre Vignau à bord du navire qu’il envoie pour la traite. ...
... Introduction 17 Là, très peu d’Amérindiens sont présents et les marchands venus pour la traite sont fort déçus. ...
... Grâce à la relation d’Abacuk Prickett, on sait que, le 2 juillet 16114, Henry Hudson, son jeune fils John et sept de ses hommes furent abandonnés dans une chaloupe par l’équipage mutin du Discovery (Asher : 122-123). ...
... On est loin des dix-sept journées suffisantes, selon Vignau, pour atteindre celle-ci à partir du saut Saint-Louis. Le jeune Français a sans doute menti en affirmant qu’il a fait luimême le « voyage du Nord ». ...
... Il réussit à convaincre ses hôtes amérindiens de l’accompagner, avec quatre canots remplis de fourrures pour la traite, et tous quittent le lac des Allumettes le 10 juin 1613. ...
... monopole de la traite des fourrures accordé par Louis XIII au prince de Condé. À Saint-Malo, il s’entretient avec les marchands malouins intéressés par le « trafic de Canada », en particulier Thomas Porée, Richard Boulain et Guillaume Le Breton. ...
... En 1612, Champlain ne tient pas sa promesse : il est retenu en France par ses démarches pour l’attribution à un Grand du monopole de la traite des fourrures. ...