Aitnanipan

Aitnanipan

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... J’ai été immédiatement émerveillé par les sujets traités et la qualité des photos. ...

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... Il mentionne surtout de multiples envois de films au laboratoire pour traitement, leurs retours sous forme de négatifs contacts et de diapos, leurs classements nécessitant de longues heures de travail souvent tard la nuit. ...

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... Pendant sept années consécutives, j’ai amassé et organisé ces images sous forme de scrapbook. Sans m’en rendre compte, je développais mon sens du visuel et, curieusement, ...

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... Il m’a répondu qu’il avait eu de mauvaises expériences avec des journalistes qui prétendaient que les enfants n’étaient pas bien traités parce qu’ils jouaient dehors en toute liberté et que, par le fait même, ils étaient sales. ...

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... Le lendemain matin, en reprenant la route 138 en direction de Sept-Îles, William m’a demandé : « Quand comptes-tu revenir à La  Romaine ? » Je n’allais tout de même pas laisser passer une pareille occasion. ...

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... C’est sans doute à cause des grosses montagnes qu’il y a à Sept-Îles. Et depuis quelque temps, il y en a beaucoup qui nous appellent « Amérindiens ». ...

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... Mais aussi, passage de l’agitation extérieure à la paix intérieure : En 1981, le Fort Mingan fait la navette et approvisionne les communautés situées entre Sept-Îles et Blanc-Sablon. ...

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... Hélène m’a raconté qu’elle a fréquenté l’école à Sept-Îles, un an avant de se marier. À son mariage, elle avait 17 ans et William en avait 19. ...

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... Le rire est cependant réservé à l’entourage familier, car les Innus ne laissent que rarement transparaître ce trait de caractère devant des inconnus. ...

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... En 1950, Hélène et plusieurs jeunes Innus, garçons et filles de La Romaine, sont parachutés à Sept-Îles pour fréquenter l’école pendant toute une année. On aperçoit Hélène, première à gauche, à bord du bateau qui les transporta jusqu’à Sept-Îles. ...