... La même loi investit tous les évêques dont le diocèse est situé, même en partie seulement, au Québec, du droit de sièger au comité catholique du CIP. ...

Alphabétisation au Québec, 1660-1900 (L')
... a L’alphabétisation au Québec 1660-1900 aussi qualifiés d’ultramontains. Cette tendance est dominée et dirigée par le clergé, bien que tous ses membres ne soient pas des ultramontains. ...
... Pendant trente ans, de 1760 à 1789, rien de particulier n’est à signaler dans le monde de l’éducation au Québec: « [...] seule l’initiative privée présidera, comme par le passé, à la fondation et à la conduite des écoles. ...
... C’est le cas notamment des Jésuites qui, dès 1761, reprennent leur enseignement dans leur petite école de la basse-ville de Québec. Les Ursulines, elles, poursuivent leur travail auprès des jeunes filles de la capitale. ...
... Malgré ces tentatives de rapprochement et l’attitude d’ouverture conciliante de la part de l’évêque de Québec, Mgr Bernard Panet, la loi reste quasi inopérante en raison de l’opposition de Mgr Jean-Jacques Lartique, évêque de Montréal: a 61 ...
... a L’alphabétisation au Québec 1660-1900 Le premier de nos évêques ultramontains, intransigeant et doctrinaire, Mgr Lartigue rejeta avec véhémence la politique de conciliation préconisée par l’évêque de Québec, car selon lui, l’établissement d’un comité ...
... a L’alphabétisation au Québec 1660-1900 L’échec de la loi de 1841, qui avait voulu concentrer l’administration du système scolaire dans les mains de conseillers municipaux relevant directement de l’Exécutif, l’autonomie subséquente accordée en 1846 ...
... Heap, 1983, p. 183) Donc, en 1867, le clergé du Québec n’arrive pas à conserver le contrôle sur l’instruction publique. De 1867 à 1875, l’État régit le système scolaire avec le ministère de l’Instruction publique. ...
... a L’alphabétisation au Québec 1660-1900 conservateurs, qui sont au pouvoir, pour faire pression sur le nouveau gouvernement afin d’abolir le ministère de l’Instruction publique. ...
... Ross, Premier ministre du Québec, l’Église reconnaît que l’État doit avoir une place dans l’éducation, par contre, ce qu’elle refuse absolument, c’est de laisser à l’État l’exclusivité de l’éducation: « L’archevêque conclut que les lois scolaires du Québec ...