... Le traité fut ratifié par les États-Unis malgré une assez forte opposition au Sénat qui réclamait ni plus ni moins que l’annexion de tout le Mexique. ...

America
... Basques et Bretons connaissent bien ces bancs de morues et découvrent peu à peu les possibilités de la traite des fourrures. Un homme, Samuel de Champlain, entraîne les Français vers l’intérieur. ...
... 58 L’expédition de Lewis et Clark Mais on retrouve bientôt Isabelle au côté de son frère Louis Couc Montour, qui traite allègrement avec les marchands d’Albany ; commerce clandestin, bien sûr, mais largement pratiqué. ...
... On notera que les Français s’attribuent tout le territoire entre les Appalaches et les Rocheuses, façon de se consoler des pertes subies en vertu du traité d’Utrecht. lewis.chap.01 61 11/10/02, 16:22 61 ...
... Au printemps 1737, le ministre Maurepas manifestait son impatience dans une lettre adressée au gouverneur Beauharnois en affirmant « que la traitte du Castor avait plus de part que toute autre chose à l’entreprise de la découverte de la Mer de l’Ouest ...
... La plupart étaient des traiteurs libres, le plus souvent installés en milieu amérindien, comme René Jussaume et Toussaint Charbonneau, d’autres étaient à l’emploi d’une compagnie de Saint-Louis. 66 11/10/02, 16:23 ...
... La mer de l’Ouest La rencontre avec Larocque, accompagné d’un certain Charles Mackenzie, de Baptiste Lafrance et de quatre autres voyageurs a sans doute un peu surpris les Américains, mais elle les a surtout ennuyés. « Sept traiteurs de la North West ...
... Ils auraient eu ensemble sept enfants, le premier ayant été conçu à Paris vers 1788 et le dernier à Monticello, alors qu’il avait 65 ans. Cette histoire est à l’image de Jefferson, aussi complexe que surprenante. ...
... . ❏ À défaut de trouver rapidement une route fluviale conduisant au Pacifique, il fallait tout au moins veiller à maintenir la libre circulation sur le Mississippi, ce qui avait été prévu dans le traité de Paris de 1763 (article 7), mais remis en « Afin ...
... Pendant une dizaine d’années, les Espagnols jouèrent avec les nerfs des Américains pour finalement convenir, en 1795, par le traité de San Lorenzo, d’accorder à ces derniers le droit de naviguer sur le Mississippi sans qu’ils aient à acquitter de droits ...