... À l’époque du Journal Boréal Express ou de Canada-Québec, nous pratiquions la lecture à haute voix. Cet exercice est toujours hautement profitable. Au Septentrion, nous n’aimons guère recevoir des manuscrits par Internet. ...

Amour du livre (L’)
... Faribault aux Archives nationales du Québec. Voir Les Hurons de Lorette publié sous la direction de Denis Vaugeois, Septentrion, 1996 : 18, 159 ; aussi André Münch, L’Expertise en écritures et en signatures, Septentrion, 2000. ...
... L’Hébreux nous avait convaincus en évoquant les projets d’éclairage du pont de Québec, en insistant sur le travail constant de son ami Jacques Jobin, conseiller municipal à la Ville de Québec et infatigable défenseur de tout projet concernant le pont ...
... L’Œuvre de sable ; le Canal de Lachine ou encore l’auteur s’est livré à une recherche très poussée : Les Fruits du Québec ; Saint-Laurent. La Main de Montréal, etc. Certains auteurs arrivent à des résultats formidables. ...
... Si ce service ne peut être rentable, pourquoi ne pas tout remettre aux Archives nationales du Canada ou du Québec ? Les musées américains optent généralement pour la visibilité. Ils sont efficaces et accessibles. ...
... Au Québec, le marché est trop petit pour permettre l’équivalent de L’Harmattan et c’est tant mieux. Une telle entreprise est la négation même du métier d’éditeur. ...
... Dans Les Fruits du Québec (Septentrion, 2002) de Paul-Louis Martin, le pressoir à prunes de la page 154 est venu se loger en page 66 sous forme compressée (sic) à la place d’un dessin de Gérard Morisset. ...
... Par curiosité, jetez un coup d’œil à deux ouvrages récents des éditions du Septentrion : Les Fruits du Québec de Paul-Louis Martin et Saint-Laurent. La Main de Montréal de Pierre Anctil. ...
... Au Québec, il existe des papiers qui s’en rapprochent. Ils changent de nom selon la fantaisie des fabricants. Il existe un papier bouffant 110M qui donne une impression de 120M et qui s’approche de la qualité des papiers européens. ...
... Pour être admissible au crédit d’impôt du Québec, 75 % des coûts de préparation doivent avoir été dépensés au Québec. Autrement dit, si les coûts d’impression d’un livre ne dépassent pas 25 %, celui-ci peut être imprimé à l’étranger. ...