Amour du livre (L’)

Amour du livre (L’)

Page 11

... Préface 9 Ce livre est dédié : À mes collègues du Journal Boréal Express, Jacques Lacoursière, Lévis Martin et Claude Bouchard, mes premiers guides en édition. ...

Page 23

... Notre choix se porta sur l’École normale Jacques-Cartier, située rue Sherbrooke, plutôt que sur l’École normale secondaire de l’Université de Montréal. ...

Page 31

... Au moment (1978) de régler le déficit laissé par l’Opéra du Québec en 1975, plusieurs ministres avaient laissé échapper : « J’espère qu’on n’en entendra plus parler. » C’était compter sans les Jacques Parizeau, Jacques-Yvan Morin et Camille Laurin. ...

Page 34

... Chaque fois, j’y retrouvais un autre de mes anciens élèves de Trois-Rivières, Jacques Panneton, qui fut responsable d’une bonne partie de l’application du plan Drapeau-Lamarre. ȣ ...

Page 37

... J’appelai Clément Marchand, un peu dilettante en ces matières, à la présidence et lançai un appel à quelques leaders du monde du livre : André Constantin, Jacques Fortin,Yvon-André Lacroix, Pierre Lespérance, Jacques Martin, Jean-Pierre Montpetit et Guy ...

Page 40

... De Celles comprenait les enjeux et son ministre, Jacques-Yvan Morin, adhérait totalement à nos objectifs. Mais j’étais habité d’un certain sentiment d’urgence. ...

Page 41

... Laurin, le ministre Jacques-Yvan Morin, Louis O’Neill, Claude Charron et moi-même. Les relations entre l’équipe du ministre Laurin et les fonctionnaires du ministère des Affaires culturelles (MAC) étaient souvent tendues. ...

Page 51

... C’était le cas pour la propriété québécoise à 100 % (une des principales recommandations du Sommet de décembre 1978 pilotée par Jacques Godbout et Jacques Fortin, Le Devoir, 6 décembre 1979 : 2), ce l’était aussi pour le paiement des droits d’auteur. ...

Page 61

... Jacques Parizeau. « C’est sa suggestion », me répondit M. Lévesque. J’étais un bon élève et M. Parizeau adorait jouer au professeur. ...

Page 70

... Depuis 1980, le plan préparé par le ministre Jacques-Yvan Morin dort toujours sur les tablettes. La situation, déjà très pénible, n’a cessé de se détériorer. Moins de livres, moins de bibliothécaires, moins de locaux. ...