Annedda (L')

... avait amarré ses navires, une route qui mène au cœur de la haute-ville institutionnelle et une côte depuis la résidence des Récollets jusque sur le premier palier. ...

... Au temps de Jacques Cartier et de Samuel de Champlain, les feuillus paraissent largement dominer en nombre dans l’environnement du promontoire de Québec. ...

... Plan de Québec en la Nouvelle-France assiégée par les Anglais, 1690, ANC, C-86464. dénominations de cette époque, comme cèdres, pins ou pruches, correspondent exactement à celles d’aujourd’hui. ...

... Réginald Auger estime en somme que Québec constitue en quelque sorte une zone frontière où se pratique une économie mixte. Cette perception est parfaitement confirmée par la comparaison que Cartier fait avec les habitants 36 ...

... L’existence d’une route qui conduit à une grande ville où il y a plusieurs mines très riches en or et en argent séduit. Cartier remet même au roi 10 à 12 morceaux d’or taillés comme de petites 43 ...

... C’est ce même personnage qui, dès 1548, après l’échec de la tentative française de colonisation à Québec, reçoit pour une période de neuf ans le privilège exclusif de recherche et d’exploitation de toutes les mines précieuses et métalliques de France. ...

... Il s’est écoulé cinq ans entre la deuxième expédition de Cartier et son retour dans la région de Québec. Cette fois, il abandonne le site de la rivière Sainte-Croix (Saint-Charles) pour s’installer près de Cap-Rouge avec ses 200 colons. ...

... Malheureusement pour les membres de l’expédition de Roberval, Jean Alfonse quitte Québec avant l’hiver. 47 ...

... Quand Champlain s’installe à Québec en 1608, la maladie frappe encore de façon désastreuse. Ce ne sont plus les mêmes nations amérindiennes qui vivent dans la région. ...

... À Québec, il repère des ifs ainsi que des cèdres, tout comme à l’île d’Orléans où se trouvent en plus des pins (Cartier : 139). En route pour Hochelaga, il signale des pins, des cèdres et des pruches (Cartier : 147). ...