Antoine, coureur des bois

Antoine, coureur des bois

Page 224

... À Québec, si tu es chanceux, tu en auras neuf livres, moins un quart qui est destiné à l’entrepôt. Il est formellement interdit de commercer sur les navires. Un nouveau décret est maintenant en force depuis l’an dernier. ...

Page 227

... Chapitre xxii Avant d’aller à Québec, Antoine et Torotati cachèrent leurs fourrures dans les environs des Trois-Rivières. Au moment où Antoine quittait l’enceinte huronne de Québec, la ville obscure était tranquille. ...

Page 229

... C’était présomptueux de croire qu’il pouvait revenir à Québec et passer inaperçu. Mais qui avait bien pu le dénoncer ? Serait-ce un des miliciens ? Les jésuites seraient-ils informés de son emprisonnement ? ...

Page 233

... — Ne t’inquiète pas, répondit Paul en souriant, je suis sur Le Tarreau, le capitaine Poulet n’est pas à Québec. — Des nouvelles de Louvetot ? ...

Page 234

... . — Nous pourrions former une association : j’apporte les fourrures à Québec, et tu les fais entrer en France. ...

Page 235

... Nous avons déménagé des Trois-Rivières à Québec l’an dernier. Il s’étira et toucha le plafond bas. — Je dois partir maintenant. Il sourit en mettant une main sur l’épaule d’Antoine. — Garde le flacon, je te le donne. ...

Page 247

... Chapitre xxiv Depuis leur départ de Ville-Marie, Antoine, Torotati et Ayita voyageaient vers le nord, sur la Grande Rivière, jusqu’au lac Nipissing. ...

Page 267

... Plus tard, lorsqu’ils retourneraient à Québec, il serait baptisé officiellement. Son mariage avec Tehya serait aussi béni par l’Église. Le rituel des Od-jib-wägs pour nommer son fils serait beaucoup plus élaboré. ...

Page 277

... Antoine imaginait son arrivée à Québec. Il était impatient de présenter Tehya et Nodin à sœur Agnès, puis de les amener au Collège des Jésuites. ...

Page 287

... Chapitre xxix Antoine, Torotati et Ayita revinrent à Québec par la route la plus directe. ...