... Toutefois, s’ils ont des appuis politiques, ils peuvent espérer un traitement plus favorable. ...

Au nom de la loi, je vous arrête!
... chapitre 4 – L’exercice du pouvoir • 99 • surveiller la traite des fourrures afin de prévenir et de réprimer toute transaction impliquant de l’alcool11 ; • surveiller les travailleurs saisonniers de passage dans les réserves, bûcherons, pêcheurs ...
... Seuls des constables canadiens obtiennent ce mandat, un acte discriminatoire : les constables autochtones de la Dominion Police ne sont pas traités comme les constables canadiens. 52. ...
... En 1904, la Dominion Police délègue Alexandre Marcoux pour mettre à jour les réseaux de traite de la Côte-Nord4. ...
... Lorsqu’un constable « traite les sauvages qu’il appréhende de manière brutale et inhumaine », lorsqu’il néglige la santé et la sécurité d’un prisonnier, il abuse de son pouvoir7. ...
... Une rétribution insuffisante Dans son rapport du 9 septembre 1908 sur l’état de l’agence de Sept-Îles, Macrae souligne que le succès de la Dominion Police est en partie attribuable au soutien financier conjoint du fédéral et de la municipalité de Sept-Îles ...
... À Sept-Îles, la police ne peut surveiller les contrevenants car, quatre ans après la création de la réserve, il n’y a toujours pas de prison54. 49. Tahaman et autres à McLean, 18 mars 1908, RG10, vol. 3030, doss. 233,180. 50. ...
... Le département embauche au moins vingt-trois Amérindiens et dix-sept Canadiens répondant pour la plupart aux standards de force, de probité et de sobriété établis par le commissariat de police à Ottawa. ...
... Leurs enquêtes et leurs interventions sont généralement limitées aux crimes mineurs en relation avec la traite et la consommation d’alcool. ...
... Les données incluent des doublons, une information répétée au moins deux fois en raison des multiples services offerts par un même individu (comme Alexandre Marcoux qui, entre 1903 et 1913, a servi à Betsiamites, Caughnawaga, Maniwaki et Sept-Îles). ...