... L’hiver 1628-1629 est particulièrement pénible pour les Français demeurés à Québec. Ils en sont réduits à manger de la farine de pois et des racines qu’ils vont chercher dans les bois. ...

Au secours de l'Amérique française
... En chemin, Champlain est témoin de la capture du navire d’Emery de Caën qui tentait de ravitailler Québec. ...
... 18 au secours de l’amérique fr ançaise Pour appuyer les démarches que l’ambassadeur veut entreprendre auprès du roi d’Angleterre Charles Ier, Champlain lui confie un récit de la prise de Québec qu’il a rédigé durant sa traversée de l’Atlantique, ainsi ...
... Les navires attendent au Havre et Champlain est à bord de l’un de ceux-ci puisqu’il est chargé de prendre le commandement de Québec au nom du cardinal de Richelieu dès que les Anglais l’auront restitué. ...
... Il a en a déjà tiré un court récit de la prise de Québec destiné à l’ambassadeur Châteauneuf. Il entreprend d’en faire une version plus ample, à laquelle il ajoute la relation de ce qu’il a entrepris depuis 1620. ...
... En octobre 1629, elle prévient Richelieu contre lui lorsqu’il est question d’envoyer quelqu’un en Angleterre pour aider l’ambassadeur Châteauneuf à négocier après l’annonce de la prise de Québec. ...
... Il est convaincu que la prise de Québec a été grandement facilitée par l’incurie de l’intendant de celle-ci, Jean de Lauson. ...
... finalement Guillaume de Caën et le marquis de Châteauneuf et les deux hommes restent en relation puisque, dès le printemps 1630, le marchand huguenot est de retour à Londres pour tenter de récupérer ses fourrures saisies par les Kirke dans le magasin de Québec ...
... Après avoir accompagné son mari à Québec de ...
... Cela n’a pas manqué d’impressionner vivement Champlain qui a vécu aux côtés de son beau-frère à Québec en 1618, de 1620 à 1622 et de 1626 à 1629. Petit à petit, une nécessité s’impose à Champlain : celle de réagir. ...