... En nous secourant, ils auraient joui des traites, ce qui ne fut pas effectué à cause du retard. Les directeurs de Bordeaux faillirent également et empêchèrent les pataches de partir aussi promptement qu’elles auraient pu faire122. ...

Au secours de l'Amérique française
... Cent pistoles était le salaire annuel versé par la Compagnie de Caën à Étienne Brûlé pour inciter les Hurons à venir à la traite. 128. Étienne Brûlé était probablement arrivé à Québec dès 1608. ...
... Amantacha et Étienne Brûlé étaient chargés par les Kirke d’inciter les Hurons à revenir traiter avec les Anglais (Sagard, 1636 : 921). ...
... Trois-Rivières était un lieu de traite. ...
... Je lui dis : « Monsieur, cela ne peut pas vous apporter tant de déplaisir que vous le dites, puisque vous avez donné tout pouvoir au capitaine Louis de traiter avec moi, en vertu des commissions que vous avez du roi d’Angleterre, ayant pour agréable tout ...
... Seconde partie : Livre troisième 509 Ce déplaisir, qui lui était si sensible, n’était alors pas tant pour les Malouins et le père jésuite que pour le sujet des Anglais, desquels il se plaignait grandement de l’avoir très mal traité et peu reconnu, contre ...
... On a fait mon procès, ainsi qu’on m’a dit154, mais puisqu’on me traite de toutes parts comme cela, c’est 152. Peut-être le Dieppois David Michel en relation d’affaires avec les De Caën (Le Blant, 1968 : 26). 153. ...
... Depuis leur première mission en Acadie de 1611 à 1613, les jésuites étaient accusés d’être motivés par les profits de la traite des fourrures (Campeau, 1967 : 111). 158. ...
... Selon des dépositions des Kirke et de leurs commis, la traite leur avait rapporté 4 540 castors, plus 432 peaux de chevreuil, et ils avaient confisqué aux Français 1 713 castors (Champlain, 1870 : V, pièces justificatives, 5 et 15). 164. ...
... En continuant, nous passâmes par les Downs178, où il y avait nombre de vaisseaux et une ramberge, de six à sept cents179 tonneaux, que l’on salua et qui rendit la réciproque de trois coups de canon. ...