Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

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... Comme vraisemblablement Eustache Boullé et un Nicolas Blondel, il était libre, alors qu’Emery de Caën et François Gravé étaient traités comme des prisonniers de guerre, retenus chez des particuliers et soumis à des rançons (Champlain, 1870 : V, pièces ...

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... les trois pièces de canon qu’il avait dans son navire, pour les mettre dans ledit fort, ayant même donné un écrit signé de sa main, par lequel il protestait ne pas lui permettre, ni à aucun autre Français, de pêcher dorénavant en ladite côte, ni de traiter ...

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... Le capitaine Daniel ayant daté le départ du 26 juin, le voyage a duré en fait 59 jours (Campeau, 1979 : 217). 249. « Sept » dans la copie de Rouen (Campeau, 1979 : 217). ...

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... Nous nous retirâmes donc tous les sept dans le bois, mouillés comme ceux qui venaient d’être trempés dans la mer. ...

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... Ils en firent plainte à mon dit sieur l’ambassadeur, qui leur dit qu’ils ne devaient pas appréhender sur ce sujet, d’autant que Sa Majesté n’avait de désir que de traiter à l’amiable, puisqu’ils avaient ainsi commencé, que les vaisseaux que l’on armait ...

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... Un traité fut conclu à Cherasco le 6 avril 1631. Un prince français, Charles de Nevers, fut investi duc de Mantoue (Mousnier : 381 et 434). 283. ...

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... Le moyen vaisseau298 ne fit ni traite ni pêche pour payer les frais de son embarquement et ainsi légèrement s’en revint à Bordeaux, avec des lettres tant des pères récollets que de La Tour adressées à messieurs les directeurs de la Nouvelle-France, ce ...

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... Mais ayant des hommes et les commodités que ledit Marot avait portés, les Français n’avaient que faire de craindre, étant un peu fortifiés, et ils auraient pu laisser faire la pêche de poisson et la traite au vaisseau et ne pas le renvoyer vide avec une ...

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... Durant l’hivernement, ils virent peu de Sauvages, qui n’y viennent que par hasard chercher les vaisseaux français qui peuvent y être pour traiter avec eux. ...

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... Ils nous dirent aussi que les ménages français qui sont restés ont été très mal traités, par ceux qui se sont rendus aux Anglais, et principalement par l’un d’entre eux appelé Le Baillif, duquel j’ai parlé cidessus. ...