Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

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... abusés  : ils devaient contribuer à l’entretien de la colonie de Port-Royal pendant un an et à l’achat de marchandises à échanger avec les Amérindiens contre des pelleteries, mais ils ne pouvaient espérer toucher que la moitié des profits de la seule traite ...

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... Charles de Biencourt était parti traiter avec les indigènes. Quant à Louis Hébert, il était déjà rentré en France (Thierry, 2008a : 457). 77. Il s’appelait La France (Campeau, 1967 : 438). ...

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... J’en portai parole deux ou trois fois au révérend père Coton, qui ménageait cette affaire, lequel eût bien désiré que le traité se fût fait avec de moindres conditions, ou par d’autres moyens, qui ne pouvaient être à l’avantage dudit sieur de Mons, ce ...

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... C’était en ce temps-là105 que je fis l’ouverture audit révérend père Coton, pour madame de Guercheville, si elle le voulait avoir, ce qui ne se pût, comme j’ai dit ci-dessus, puisque la traite était permise, jusqu’à ce qu’il renouvelât une autre commission ...

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... En ce lieu, il y avait nombre de Sauvages qui y étaient venus pour la traite des pelleteries, plusieurs desquels vinrent à notre vaisseau avec leurs canots, qui sont de 8 ou 9 pas de long et environ un pas ou un pas et demi de large par le milieu et vont ...

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... froide que leur pays, et les deux autres122 d’autres côtes par-dedans les terres, où il y a des peuples sauvages errants qui ne vivent aussi que de la chasse123, et c’est le lieu où nos Sauvages vont porter les marchandises que nous leur donnons pour traiter ...

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... je désirais bien m’en retourner à notre habitation pour leur donner plus de contentement, et qu’ils pouvaient juger que je n’avais pas d’autre intention que d’aller faire la guerre, ne portant avec moi164 que des armes, et non des marchandises pour traiter ...

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... Les Voyages : Livre troisième 161 s’en retournèrent dans leur pays avec leurs femmes et les marchandises qu’ils avaient traitées. ...

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... Ce pauvre misérable jetait des cris étranges et il me faisait pitié de le voir traiter de cette façon. Toutefois, il était si constant qu’on eût dit qu’il ne sentait parfois aucune douleur. ...

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... Je priai le sieur des Prairies et ses compa212. « Qui avait sa barque comme les autres pour la traite des pelleteries » dans les Voyages de 1613 (Champlain, 2008 : 222). Champlain cache l’existence de plusieurs barques de traitants. ...