... Puis, chacune des nations 214. « Je me fis panser ma blessure par le chirurgien de Boyer, de Rouen, qui y était venu aussi pour la traite » dans les Voyages de 1613 (Champlain, 2008 : 223). 215. ...

Au secours de l'Amérique française
... Cela donna plus de sujet de mieux traiter mon garçon, lequel j’équipai de ce qui lui était nécessaire, et nous nous promîmes les uns aux autres de nous revoir à la fin de juin. ...
... quand il me montra le lieu, les cheveux me hérissèrent en la tête et je m’étonnais comment les défunts avaient été si hardis et hors de jugement de passer en un endroit si effroyable, pouvant aller ailleurs, car il est impossible d’y passer, pour avoir sept ...
... Les Voyages de 1613 contiennent seulement : « Se loua du bon traitement » (Champlain, 2008 : 249). ...
... Dans ses Voyages de 1613, Champlain n’a pas évoqué la crainte des autres Amérindiens, mais celle des autres Français venus pour la traite : « Leur volonté en cachette, se fiant en moi. ...
... Le matin venu, ils achevèrent de traiter ce peu qu’il leur restait et puis s’embarquèrent en leurs canots, nous priant de ne pas toucher à leurs logements pour les défaire, ce que nous leur promîmes, et ils se séparèrent les uns des autres, feignant d ...
... Après qu’ils eurent traité tout le peu qu’ils avaient, ils se séparèrent en trois, les uns pour la guerre, les autres par ledit grand saut et les autres par une petite rivière qui va se rendre en celle dudit grand saut, et ils partirent le dix-huitième ...
... N’ayant pour l’heure d’autre désir que de m’en revenir, je conviai les Sauvages à venir au saut SaintLouis74, où ils recevraient bon traitement, ce qu’ils firent savoir à tous leurs voisins. ...
... Nous passâmes six ou sept sauts depuis l’île des Algonquins81 jusqu’au petit saut82, pays fort désagréable. ...
... Aussitôt que je l’eus vu, je le laissai jouir, lui et les siens, du bénéfice de celui-ci, comme nous autres, et je fis dire aux Sauvages qu’ils pouvaient traiter le lendemain. ...