Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

Page 217

... Après que les Sauvages eurent traité leurs marchandises et qu’ils eurent décidé de s’en retourner, je les priai de mener avec eux deux jeunes hommes88 pour les entretenir en amitié, leur faire voir le pays et les obliger à les ramener, ce dont ils firent ...

Page 218

... Il cherchait donc à obtenir un nouveau monopole de la traite des fourrures pour une société commerciale. 93. Voir Champlain, 2009 : 64. 94. Charles de Bourbon, comte de Soissons. 95. ...

Page 219

... Le 27 septembre 1612, le comte de Soissons est devenu titulaire pour douze ans du monopole de la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent, depuis Québec en amont, et le 8 octobre suivant Louis XIII en a fait son lieutenant général en Nouvelle-France ...

Page 220

... , contracter, à même effet, paix, alliance et confédération, bonne amitié, correspondance et communication avec lesdits peuples, et leurs princes, ou autres ayant pouvoir et commandement sur eux, entretenir, garder et soigneusement conserver les traités ...

Page 222

... Le 13 novembre 1612, Louis XIII a nommé le prince de Condé lieutenant général en Nouvelle-France et lui a accordé, pour douze ans, le monopole de la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent (Le Blant et Baudry : 233-241). 106. ...

Page 223

... De là, continuant notre voyage jusqu’au grand saut Saint-Louis, où chacun faisait sa traite de pelleterie, je cherchai le vaisseau le plus tôt prêt pour m’en retourner, qui fut celui de Saint-Malo114, dans lequel je m’embarquai et, levant les ancres et ...

Page 226

... pas se présenter c devant mon dit seigneur le prince, ni trouver des conseillers d’État, qui se voulussent charger de leur requête contre son autorité, ils firent en sorte de faire mettre dans le cahier général des États qu’il fut permis d’avoir la traite ...

Page 227

... Des Hurons venus au saut Saint-Louis pour la traite des fourrures. 134. La rivière des Outaouais. 135. Probablement Étienne Brûlé qui vivait avec des Hurons depuis 1611. 136. ...

Page 230

... Ils étaient bien en nombre de sept à huit cents âmes, qui se tiennent ordinairement sur le lac, où il y a un grand nombre d’îles fort plaisantes, et entre autres une qui a plus de six lieues de long, où il y a trois ou quatre beaux étangs et nombre de ...

Page 233

... Puis après, nous traversâmes une baie qui fait une des extrémités du lac167, et nous fîmes environ sept lieues, jusqu’à ce que nous arrivassions en la contrée des Attigouautans, à un village appelé Otouacha168, ce qui fut le premier d’août, où nous trouvâmes ...