Au temps de la petite vérole

Au temps de la petite vérole

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... Si cette proposition n’est pas agréée, il propose comme alternative qu’une communauté de médecins soit établie par autorité dans chacune des villes et que toute personne désirant professer la médecine soit obligée de passer un examen et de devenir membre ...

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... Cette opinion, il l’expose clairement dans une lettre personnelle adressée, en janvier 1787, à son confrère James Davidson de Québec. ...

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... Tous demeurent en ville. ...

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... Elle permet ainsi Acte ou ordonnance qui défend à qui que ce soit de pratiquer la médecine et la chirurgie dans la Province de Québec, ou la profession d’accoucheur dans les villes de Québec ou Montréal, sans permission, 30 avril 1788, publiée aussi ...

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... Trois ans plus tard, le gouvernement de la même région se plaint encore que la médecine, hors des villes, est aux mains des gens qui « font le poil477 ». Au Canada, la situation ne diffère guère du modèle européen. ...

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... « Le recensement de Québec en 1744 », dans Rapport de l’archiviste de la province de Québec pour 1939-1940, Québec, Rédempti Paradis, 1940, p. 44. 490. Commission de chirurgien au fort Saint-Frédéric accordée par Varin au S. Landriau d. ...

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... À la fin du xviiie siècle, un New-Yorkais souligne la présence de bons chirurgiens en ville, mais ses propos peuvent difficilement être étendus à l’ensemble du corps médical : 492. ...

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... Les chirurgiens internes ont le droit d’exercer dans une ville où il y a une communauté dont ils font partie de droit. ...

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... Centre de référence de l’Amérique française (anciennement Bibliothèque du Séminaire de Québec, Ancien fonds). (Photo Denis Ross) s’échelonnant sur plusieurs mois. L’aspirant doit avoir au moins 22 ans, 20 ans s’il est fils de maître. ...

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... Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) à Québec, ministère des Affaires culturelles, Québec, Fonds Morisset, 1279-A-3. ...