Aventurier et ambassadeur

Aventurier et ambassadeur

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... Je préparais un voyage à Paris où je souffrirais des explications de Claire sur la fin de notre amour : mon âme serait vide au cœur de cette ville de vie, de rêve. Pourquoi ...

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... La ville avait été libérée par le 22e Régiment, entre autres, et nos soldats avaient toujours été fêtés comme des héros depuis lors. ...

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... Court passage dans la grande ville de Londres, avant Ostende, port belge, et l’arrivée à Bruxelles. ...

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... La ville se livrait comme une amoureuse à son amant. ...

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... Rieuse et confiante elle m’expliquait l’histoire de la ville, des rues et des monuments, me parlant comme si elle était en compagnie d’un ami de longue date. ...

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... Lorsque les troupes canadiennes libérèrent ma ville à l’automne 1944, toute la population les reçut en libérateurs, en les embrassant, en les recevant chez eux. Les femmes, libres ou non, voulurent étreindre un soldat, un héros ! ...

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... Nous déciderions alors si elle pourrait vivre au Québec, en oubliant le Manitoba de Wally. Vacances et découverte des Alpilles J’avais accumulé de nombreux jours de vacances et Louise m’encourageait à découvrir l’Europe. ...

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... Avec une certaine brutalité, notre mère adoptive et protectrice distinguée, grande dame de Québec, madame Bienvenue, fut remplacée par un protégé du nouveau gouvernement, un certain Glenn Bannerman qui était l’antithèse de notre grande amie. ...

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... Je me rendis à l’hôtel de ville, en laissant ma Flandria attachée à un arbre, rue des Lavandières – Sainte-Opportune, derrière le Théâtre SarahBernhardt, près du lampadaire où Gérard de Nerval s’était pendu. ...

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... Retour au Québec et examen du Barreau Revenu à Montréal, de la mi-novembre à la mi-décembre, pendant environ cinq semaines, je me cloîtrai littéralement pour étudier et réviser les notes des cours manqués, que m’avaient prêtées des amis. ...