... À Jacques ...

Bâtir Montréal à la table 45
... Pour rendre hommage à la contribution de Jacques, pour empêcher les 15 dernières années à travailler avec lui de ne devenir qu’un souvenir lointain, mais aussi pour saisir cette occasion de me forcer à réfléchir à tout ce que mon père m’a ...
... Jacques a été, dès les années 1980, à l’avant-garde de cette compréhension des aspirations profondes des futurs propriétaires. ...
... Depuis aussi longtemps que je travaille au sein de l’entreprise, j’ai vu Jacques et Jonathan – j’ai eu la chance de me joindre à eux par la suite – passer des heures et des heures à perfectionner un plan pour s’assurer que chaque pouce carré est maximisé ...
... De tout ce que Jonathan et Jacques ont ensuite développé. Vendre 10 petites unités d’un seul coup, c’est une occasion manquée d’offrir l’accès à la propriété à 10 personnes qui profiteraient d’une entrée sur le marché immobilier. ...
... fenêtre 2 Table 45 U n jour, je n’arrive pas à me rappeler quand exactement, j’ai arrêté d’appeler mon père « papa » lorsque nous étions au travail et je me suis mise à l’appeler « Jacques ». ...
... Prével et Jacques, ça ne faisait qu’un. Mais Jacques n’est pas seulement l’entreprise qu’il a créée. Et il le sait très bien. L’entreprise n’est pas le prolongement de lui-même. ...
... C’est bien ce que Jacques a toujours recherché dans ses projets. De la beauté. De la simplicité. De la finesse. De l’authenticité. Il cherchait à créer de l’émotion. ...
... Dans les premiers temps, je pense que Jacques jouait son rôle de père, mais petit à petit nous avons développé une forme de complicité d’affaires. Les premières années, j’étais en mode revendication. ...
... Alors qu’avec Jacques, nous étions. Simplement, nous étions. Il ne me disait pas comment penser. Il ne me disait pas quoi faire. Je réalise, tant d’années plus tard, que nous avons vécu une forme d’osmose. ...