... Dans l’ordre, il devance Lucien Bouchard (22 %), Jacques Parizeau (17 %), Jean Charest (10 %), Pauline Marois (7 %), Philippe Couillard (7 %), Bernard Landry (6 %) et Daniel Johnson (4 %). 17. ...

Bourassa et Lévesque
... Il était suivi de Pierre Elliott Trudeau, Jean Drapeau, Robert Bourassa, Lise Payette, Jack Layton, Michel Chartrand, Pauline Marois, Jean Chrétien et Jacques Parizeau. 18. ...
... Dans son analyse des élections du 29 avril, Jacques Benjamin constate que, pour une première fois au Québec, trois partis utilisent de façon courante le marketing. ...
... Jean-Jacques Bertrand prend la relève comme premier ministre et chef par intérim du parti. En juin 1969, lors d’un congrès au leadership, il est confirmé comme chef, non sans peine25. L’organisation unioniste a une machine électorale bien huilée. ...
... Voir la biographie de Jean-Jacques Bertrand sur le site Internet de l’Assemblée nationale, www.assnat.qc.ca. 38 ...
... 12 mars 1970 : le premier ministre Jean-Jacques Bertrand prend tout le monde de court, y compris son organisation, en annonçant que le Québec ira aux urnes le 29 avril. ...
... Sans cette manœuvre de dernière minute, Jacques Parizeau estime qu’il aurait triomphé dans le comté d’Ahuntsic en 1970. ...
... Jean-Jacques Bertrand est réélu dans Missisquoi14. Il agira à titre de chef de l’opposition jusqu’en juin 1971. Ralliement créditiste du Québec : 12 élus et 11,2 % du vote. Camil Samson gagne dans Rouyn-Noranda15. ...
... Jean-Jacques Bertrand bénéficie de l’image d’un premier ministre en exercice. Quant à Camil Samson et Roland Morin, ils sont pratiquement inconnus de la population. Quelle est l’image des chefs au départ de la course ? ...
... BERTRAND : UN HOMME « RÉSERVÉ PLUTÔT QU’EXPANSIF » Quant à Jean-Jacques Bertrand, le journaliste François Trépanier en dit : « Bien qu’il n’ait jamais renié son passé politique ou tenté de renier son premier maître, M. Maurice Duplessis, M. ...