... Sept mois se sont écoulés quand il accepte, avec sept compagnons d’armes, d’être exilé aux Bermudes moyennant la libération des autres prisonniers. Malgré sa mise en liberté dès d’octobre 1838, il est décrété persona non grata au Canada. ...
Brève histoire des patriotes
... Le CCPM se réunit sept fois entre le 16 mai et le 6 octobre pour peaufiner la stratégie électorale du parti en vue des élections d’octobre 1834. ...
... Après sept heures de combat, Gore décide de se replier sur Sorel, laissant les défenseurs maîtres de la place. Cette victoire inespérée sera cependant sans lendemain et est annulée deux jours plus tard par la défaite de Saint-Charles. ...
... brève histoire des patriotes Philippe-Napoléon Pacaud (1812-1884) fait partie du fameux clan des Pacaud de Saint-Hyacinthe, où ses sept frères prirent aussi part à la rébellion. ...
... Le 18 juin 1838, il accepte de signer, avec sept compagnons, l’aveu de culpabilité qui le conduit en exil aux Bermudes. Le désaveu de lord Durham met un terme à sa sentence. ...
... Graduellement, le comité permanent se substitue aux pouvoirs locaux, notamment lors des septième et huitième séances du CPCDM, quand les magistrats Girouard, Dumouchel et Jacob 212 ...
... Pas moins de sept pétitions critiquent la gestion seigneuriale, notamment celle de John Plenderleath Christie, qui possède pas moins de sept seigneuries dans la région et qui mène une lutte féroce aux patriotes. ...
... La bataille d’Odelltown marque la fin du soulèvement des chasseurs d’un trait décisif : l’état-major rebelle est en fuite, tandis que le camp de Napierville se dissout à l’approche de l’armée régulière. ...
... Ce traité de paix est un événement unique dans l’histoire du Québec, alors que des révolutionnaires sont reconnus comme interlocuteurs par les autorités établies : Le 7 novembre 1838 - 5 1/2 heures, p.m. Il est convenu entre MM. ...
... Sept cents à huit cents partisans sont alors réunis devant l’église de Saint-François-deYamaska, sous la présidence d’Arcand et d’O’Callaghan. ...