... Les chasseurs se mettaient en rapport avec l’esprit de leur proie pour s’assurer une chasse fructueuse, et ils se défaisaient des parties non comestibles en respectant des prescriptions strictes, pour que la famille de l’animal ne fût pas offensée. ...

Brève histoire socio-économique du Québec (4e édition)
... Comme on l’a vu auparavant, chaque famille de chasseurs utilisait annuellement une trentaine de castors, tant pour sa nourriture que pour la confection de robes. ...
... Étant donné l’importance des rêves, des fêtes et de la famille dans leur vie, il n’est guère surprenant que les autochtones n’aient pas voulu se convertir. ...
... La famille paysanne était l’épine dorsale de cette société, comme elle en était l’unité économique de base. ...
... de la nouvelle-france au bas-canada • 51 les générations précédentes (souvent des membres de leur famille élargie) pour tout ce qui touchait au crédit, aux renseignements, au respect des contrats et au recouvrement des dettes. ...
... Ces familles réussirent à éviter le châtiment grâce à la protection de Mgr de Laval qui les nomma au premier Conseil souverain en 1663 (Horguelin, 1997). ...
... En raison de la distance et de la courte saison de navigation, les lettres ne parvenaient dans la colonie que pendant l’été. La rareté des communications explique qu’on était, à Versailles, mal informé des problèmes coloniaux. ...
... Fondée sur la conception « nulle terre sans seigneur », la Coutume de Paris avantageait le fils aîné des familles seigneuriales pour maintenir leur rang, mais encourageait une vision égalitaire dans les classes populaires, en prescrivant une stricte égalité ...
... La séparation des familles et la perte de leurs biens en furent le résultat. La légende d’Évangéline en rappelle les tristes faits. ...
... de la nouvelle-france au bas-canada • 71 français, et des marchands, représentants de compagnies métropolitaines — quittèrent la colonie accompagnées de leurs familles et de leurs domestiques (Larin, 2002). ...