... La résistance de Saint-Jean a été bien étudiée par Jacques Castonguay dans Les Défis du Fort-Jean. L’invasion ratée des Américains en 1775 (Richelieu, 1975). L’événement a été lourd de conséquences. ...

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... Aussi Jacques Vallée, Tocqueville au Bas-Canada. Éditions du Jour, Montréal, 1973, et G. de Beaumont, Lettres d’Amérique. PUF, 1973. ✎ L’activité sur les quais de Montréal au milieu du xixe siècle. Lithographie de J. Duncan. ...
... Voir également le Boréal Express III (1810-1841) : 504-505. eu d'émeute sur la Le 1/6 de la population du Bas-Canada est alors de langue anglaise. rue Saint-Jacques. ➌ L’Assemblée n’était pas loin d’exiger plus de pouvoirs que les Communes de Londres ...
... Une violente bagarre s’engage, rue Saint-Jacques. Les Anglais l’emportent et profitent de leur supériorité pour saccager l’imprimerie du Vindicator, journal du docteur O’Callaghan, et menacer la résidence de Papineau. ...
... 246 L’essai de Jacques Laplante, Prison et ordre social au Québec (PUO, 1989), porte sur toutes les formes d’enfermement et non seulement sur la prison. Il couvre de façon magistrale de 1608 à nos jours. ...
... Mgr Jean-Jacques Lartigue, sacré évêque en 1821, remplit cette fonction à Montréal, érigé canoniquement en évêché en 1836. ...
... la prospérité des années 50 écartera pour un temps ces visées annexionnistes. ➊ Les orangistes tirent leur nom de Guillaume III, prince d’Orange, champion du protestantisme dont le principal mérite, à leurs yeux, est d’avoir vaincu le roi catholique Jacques ...
... Chemin faisant, j’ai rencontré, sur la rue Saint-Jacques, 300 ou 400 hommes divisés en deux clans, des Canadiens et des Britanniques. ...
... Aussi Jacques Letarte, Atlas d’histoire économique et sociale du Québec 1851-1896. Fides, Montréal, 1971. ✎ Le moulin de Vincennes (Beaumont). ...
... En 1857, trois ouvrent leurs portes, deux à Montréal, Jacques-Cartier et McGill, une à Québec, Laval. ...