... et le déclin de la traite dans la région au début du e siècle, se sont tant bien que mal maintenues. ...
Canadiens français du Michigan (Les)
... Le mouvement vers le Midwest, et principalement vers le Michigan, ne doit pas surprendre puisqu’il s’inscrit en continuité avec celui que les colons associés à la traite avaient entrepris avant eux et est venu stimuler, alimenter certaines communautés ...
... Selon les dispositions du traité de Paris puis de la Proclamation royale de 1763, la disparition de la société canadiennefrançaise semblait n’être qu’une question de temps2. La réalité fut cependant tout autre. ...
... Parmi celles-ci, l’exode vers les centres urbains, la colonisation, le recours au travail temporaire dans la traite des fourrures, le travail saisonnier en chantiers et la migration vers les États-Unis se sont avérés des solutions qui ont été tentées ...
... La traite des fourrures La traite des fourrures a été au cœur du développement économique, géographique et social du Québec du e siècle jusqu’au début du e siècle. ...
... Le traité de Paris de 1763, l’Acte de Québec de 1774, la « Révolution américaine », le traité de Jay de 1794 et le traité de Gand en 1814 ont tous, à divers niveaux, modifié la relation étroite entre Montréal et la région des Grands Lacs. ...
... Dans cette situation, plusieurs Canadiens français affectés aux différents postes de traite de la région des Grands Lacs ont décidé de s’y établir. ...
... dans leur mouvement, allant là où les activités de la traite les menaient et conservant un accès direct aux Grands Lacs. Leur participation à la traite paraît significative à plus d’un titre. ...
... Plusieurs communautés de la vallée du Saint-Laurent ont été témoins d’un mouvement de vaet-vient saisonnier, un mouvement qui ne s’orientait plus comme auparavant vers les postes de traite de la région des Grands Lacs durant la saison d’été mais qui prenait ...
... Même si, contrairement à la Nouvelle-Angleterre, cette région était située à bonne distance du Québec, cet éloignement n’avait jamais jadis empêché les Canadiens français de s’y rendre régulièrement au temps de la traite et d’y créer de petites communautés ...