Catherine de Baillon

Catherine de Baillon

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... L’oncle François Miville n’est pas là  ; auraiton oublié de l’informer ? Cela semble peu probable : la future mariée est encore mineure  ; par conséquent, légalement, elle est encore sous sa tutelle. Peut-être veut-il ignorer sa nièce, ...

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... Six mois sont à peine écoulés depuis les épousailles qu’Ignace Durand demande à la Prévôté, le 11 août, la per­ mission d’élire un nouveau tuteur pour veiller sur les orphe­ lins Miville restés chez l’oncle François. ...

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... La maison du plus proche voisin, Georges Cadoret, était à plus de cinq arpents de là, quant au beau-frère, François Miville, il fallait fran­ chir une bonne douzaine d’arpents pour arriver jusque chez lui. ...

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... Une vie en Nouvelle-France 65 Catherine de Baillon regretta-t-elle sa venue au pays de Neuve France  ? ...

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... Par ailleurs, Jacques était associé avec son frère François dans la société de traite des fourrures qu’ils avaient fondée avec leur mère. Le tout constituait très cer­ tainement une perspective bien encourageante dans l’esprit de Catherine. ...

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... Quant à François, il fut dégagé de toute obligation au regard des dettes dont il partageait pourtant la responsabilité avec ses asso­ ciés. On peut se demander pourquoi de telles dispo­ sitions. ...

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... occidentales, et Moïse Petit, procureur de son père, Alexandre Petit, marchand, demandèrent au Conseil souverain «  a ce qu’il soit pourveu d’un Curateur a Charlotte Mongis… attendu qu’elle est en démence.  » Sept jours plus tard, le Conseil souverain nomma François ...

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... Le 15 août 1698, François Miville, remarié depuis 1692, se désistera formel­ lement — enfin — de sa tutelle. Ignace Durand ne connaîtra pas la bonne nouvelle  : peu de temps après l’installation à la Pointe-aux-Cailles, la mort vient le surprendre. ...

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... Jacques Mathieu, La Nouvelle-France - Les Français en Amé­ rique du Nord xvie - xviiie siècle, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1991, p. 75.  3. ...

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... Mais le plus inattendu des seigneurs de Vaugien, et même de Ragonant, fut l’ancien intendant de la Nouvelle-France, François Bigot, qui acheta Vaugien, le 24 août 1758, au prix faramineux de 760  000 ...