... . […] Les maisons de la basse-ville de Québec ont été fort endom magées, la marée s’étant enflée si extraordinairement, qu’elle a monté jusqu’au troisième étage. Il y a encore bien des maisons abbatues (sic) dans la haute-ville. ...
Catherine de Baillon
... Pourtant, à la Grande-Anse, dans la maison des Miville, les heures n’ont pas encore quitté leur goût de chagrin : le 3 avril, l’oncle François, le frère aîné de Jacques Miville, a demandé à la « Prévosté » de Québec de lui con- ...
... Sylvio Dumas, Les Filles du roi en Nouvelle-France, Québec, Société historique de Québec, 1972, p. 33. 4. F.-X. Chouinard, La Ville de Québec, dans « Cahiers d’histoire », 15, Société historique de Québec, 1963, p. 38. 5. ...
... Stendhal Souvenirs d’égotisme C atherine Marie n’est vraisemblablement pas très heureuse de la décision de la Prévôté de Québec. ...
... La jeune fille connaît la petite capitale coloniale, car elle a passé tout l’été 1683 chez les ursulines de Québec pour y préparer sa première communion. ...
... Après la naissance de leur premier enfant, Gabriel, le couple s’établit à Brouage, lieu de naissance de Samuel de Champlain, père fondateur de la ville de Québec. ...
... La Nouvelle-France À la veille des années 1650, la Nouvelle-France comptait moins de 1 000 habitants d’origine européenne, concentrés essen tiellement aux abords des bourgs de Québec, TroisRivières et Ville-Marie (Montréal). ...
... La première terre, située dans la seigneurie de Lauson, s’étendait sur 3 arpents de front et 40 de profondeur5, et la seconde, située sur la Grande Allée, près de Québec, comptait 26 arpents de superficie. ...
... Peu après l’arrivée de Jean de Lauson à Québec, Pierre Miville sut jouer de cette relation privilégiée pour obtenir de lui un ter rain dans la haute-ville. Il y éleva une maison6, mais ne s’y ins talla pas à demeure. ...
... L’année suivante, à son retour dans la colonie, Jean de Lauson lui accorda un autre terrain, dans la basse-ville de Québec cette fois, au cœur de la société marchande. ...