Catherine de Baillon

Catherine de Baillon

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... —, s’em­ pressa de se rendre au désir de Jacques Miville à la condition que celui-ci s’y établisse dans l’année. ...

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... Le vendeur était un certain Jacques Bernier dit ...

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... Le lieu était magnifique et, ce qui était certainement le plus important, il offrait aux époux Miville une chance de redémarrer du bon pied… Et pourtant, il faut croire que ceux-ci n’y trouvèrent pas leur compte puisque, le 11 octobre 1684, Jacques loua ...

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... Jacques Miville, lui aussi, savait apposer — malhabile­ ment mais fièrement — sa signature au bas de tous les docu­ ments qui le concernaient. Pourquoi alors aucun des garçons n’apprit-il pas à faire de même  ? ...

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... Six ans plus tard, en 1688, la mort allait saisir Jacques et sa femme, à quelques heures de distance, sur une terre dont ils n’étaient même pas les propriétaires. ...

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... Catherine Marie, l’aînée de Jacques Miville et de Catherine de Baillon, devenue veuve, se retrouve aussi dému­ nie qu’au jour de son mariage. ...

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... Jacques Mathieu, La Nouvelle-France - Les Français en Amé­ rique du Nord xvie - xviiie siècle, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1991, p. 75.  3. ...

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... Marie convola en 1570 avec Charles de Mauterne, seigneur de Voisins, et Marguerite se maria, en 1575, avec Jacques Bouchereau, avo­ cat au Parlement et procureur du roi aux requêtes de l’Hôtel. ...

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... Pas les frère et sœurs de Catherine de Baillon, ils ont tous quitté cette terre  ; seul Jacques Stoup, le mari de Louise, vit encore. En homme d’affaires avisé, Soulard se renseigne à gauche et à droite. ...

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... Il y a treize ans, à la mort d’Ignace Durand, la fille aînée de Jacques Miville et de Catherine de Baillon était presque réduite à l’indigence. ...