Champlain

Champlain

Page 234

... L’impassabilité est chez lui une posture autant ou plus qu’un trait de caractère. L’époque, il faut le rappeler, est au néo-stoïcisme triomphant, un stoïcisme parfaitement conciliable avec le catholicisme de la Contre-Réforme. ...

Page 235

... de la marine et du devoir d’un bon marinier, publié en annexe des Voyages de 1632 (Champlain, Traitté de la marine in Deschamps, 1951 : 333). ...

Page 236

... Avec le dégel et le retour de la belle saison, Français et Indiens se retrouvent comme ils le font chaque année, pour la traite et le renouvellement des alliances. ...

Page 241

... Finalement, il y avait la compagnie Berrewijns qui s’immisça dans la traite des fourrures de la NouvelleFrance. ...

Page 242

... Selon Joannes de Laet, Arnout Vogels entreprit la traite des fourrures à Manhatte (De Laet, 1625 : 34). ...

Page 243

... Sept mois plus tard, le Grand Conseil condamna Corneille de Bellois et ses associés à payer trente mille livres d’amende pour « contravention des défences de traicter et traficquer de pelleteries avec les sauvages en l’estendue du pouvoir donné audit ...

Page 244

... Entre 1626 et 1629, Cornelius Van der Mur fut le commis en charge de la traite à Québec pour de Caën. Ce fut Van der Mur qui dut remettre les clefs du magasin de Québec à Lewis Kirke en 1629. ...

Page 245

... Pourquoi Français et Anglais ont-ils signé un traité concernant le Canada à Suse en Italie plutôt qu’à Londres ou à Paris ? Quel est cet autre traité de Saint-Germain-en-Laye qui règle finalement ce conflit ? ...

Page 248

... En fait, dès le lendemain de son arrivée à Londres, il se rend directement chez l’ambassadeur de France pour lui raconter que la prise de Québec s’est effectuée trois mois après le traité de Suse et qu’il exige le retour de la colonie 248 • champlain ...

Page 249

... Les Kirke, pour leur part, arment deux autres navires pour ravitailler leur petite garnison de Québec et rapporter les pelleteries traitées. ...