... subissent le même traitement que les vaisseaux étrangers. ...

Champlain
... La signature de ce traité par Charles Ier est, pour ainsi dire, un signal d’appui à Louis XIII dans sa politique contre Philippe IV d’Espagne. ...
... L’affranchissement des otages et des navires marchands capturés de part et d’autre et qui attendent dans les ports ou dans les colonies requiert un long traitement. ...
... traité entre le roi louis xiii et charles ier roi d’angleterre, pour la restitution de la Nouvelle-France, la Cadie et le Canada, qui stipule très exactement que la Grande-Bretagne doit rendre — outre le fort de Québec — les places de Port-Royal et Cap-Breton ...
... Ce dernier a des correspondants dans plusieurs villes de France et d’Europe, ce qui lui permet de mettre la main aussi bien sur les pelleteries traitées illégalement par les morutiers et les baleiniers que celles qui sont rapportées en Angleterre par ...
... Le traité de Monçon, signé le 2 mai 1626, confirme la volonté espagnole de respecter la Valteline. 14. PRO, SP78/83, f. 212 et 229. À la cour, on parle d’une réconciliation avec la France dès l’automne 1628. 15. ...
... Dugua, en 1608, envoie Champlain ouvrir un comptoir, un poste de traite, pour parfaire son entreprise de trafic pelletier. Mais Champlain n’est pas un commerçant ni un utopiste agraire. ...
... La question des épidémies d’origine européenne a été traitée par de très nombreux chercheurs — pour la plupart des anthropologues et des historiens —, mais elle n’est pas épuisée pour autant, surtout si on l’aborde d’un point de vue différent. ...
... C’est plutôt sur les Relations des Jésuites que reposera notre analyse, plus précisément sur celles ayant trait à la Huronie entre 1634 et 1650. ...
... De fait, contrairement à ces dernières activités, la traite impliquait une participation des Autochtones et des contacts plus étroits avec les Européens. ...