Cheval Canadien: histoire et espoir (Le)

Cheval Canadien: histoire et espoir (Le)

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... Le cheval doit payer sa pitance, il doit jouer le triple rôle de bête de trait, de transport et de reproducteur. » elle peut tracer des chemins l’hiver là où il n’y a pas encore de routes. ...

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... En 1713, la colonie passe à une autre étape grâce aux traités d’Utrecht, qui met fin à la guerre de Succession d’Espagne et ramène temporairement le calme en Amérique du Nord. ...

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... La forêt (et la lucrative traite des fourrures) ainsi que le mode de vie des Amérindiens charment bon nombre de soldats et de jeunes hommes de la colonie. ...

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... Elle est finalement remise aux Français en 1748 grâce au traité d’Aix-la-Chapelle, qui met fin à la guerre de Succession d’Autriche. Louisbourg devient alors la plaque tournante du commerce entre le pays, les Antilles et la France. ...

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... Durant la guerre de Sept Ans, les chevaux vont même servir de nourriture pour les troupes. ...

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... Louis-Joseph de Montcalm est envoyé à Québec en 1756 en tant que commandant des troupes françaises en Amérique du Nord pendant la guerre de Sept Ans, où il est nommé maréchal de camp pour les opérations en Nouvelle-France. ...

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... La prise de possession du territoire par les Anglais à la suite du traité de Paris en 1763 met fin à la guerre. Le cheval Canadien n’a plus officiellement d’utilité militaire. Ce n’est qu’en 18121 que la Quebec 1. ...

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... Il est croisé avec un cheval de trait anglais ou provenant du Vermont. ...

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... Cependant, le Shire et le Clydesdale ont influencé le Canadien aussi, mais à un moindre degré que les races de trait françaises et la race de trait belge. ...

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... Avant les énergies mécaniques, les bateaux étaient souvent tirés depuis la rive (chemin de halage) par des chevaux de trait attelés par des cordes. Ils pouvaient faire avancer des péniches de 80 tonnes à près de 5 km/h. ...