... Sur la montagne comme au centre-ville, les étudiants agissent en petits groupes et de façon improvisée. Cela explique leur absence lors de la conférence de presse organisée le 14 octobre par les syndicats et le Parti québécois pour inciter les 115. ...

Chronique d'une insurrection appréhendée, nouvelle édition
... L’avocat du Front de libération du Québec, Me Robert Lemieux diplômé de l’Université McGill, à l’instar de son vis-à-vis Robert Demers, sera l’une des victimes de la Loi sur les mesures de guerre. ...
... À l’automne 1970, l’Université du Québec à Montréal n’a qu’une année d’existence. Les cycles supérieurs (maîtrise et doctorat) n’étant pas encore très développés, sa population étudiante est très jeune. ...
... Jean-François Duchaîne, Rapport sur les événements d’octobre 1970, 2e édition, Gouvernement du Québec, ministère de la Justice, 1981, p. 94. 2. Ibid., p. 100. ...
... En Chambre, il dit évaluer les effectifs du FLQ à plus de 3 000 membres5 et soutient que la police de Montréal et la Sûreté du Québec sont infiltrées par des agents du FLQ6. ...
... En d’autres termes, décrivait-elle adéquatement la situation qui existait alors au Québec ? ...
... Tout cependant laisse croire qu’un tel réseau va maintenant se mettre sur pied et agir directement vu que la preuve a été faite pour le FLQ qu’avec plus d’organisation, il mettrait vraiment le Québec à terre. ...
... leur sont étrangers26. » Arthur Portelance, un autre député libéral montréalais, cite l’exemple de sa fille, une étudiante à l’Université de Montréal ayant assisté à la conférence de Pierre Vallières le 15 octobre. « On invite tous les étudiants du Québec ...
... Pour sa part, le député conservateur de Charlevoix, Martial Asselin, constate que, « dans le Québec, les jeunes ne sont satisfaits ni du système de sécurité sociale, ni du système politique29 ». ...
... Jean-Marc Piotte, Québec occupé, Montréal, Parti pris, 1971, p. 25. ...