... Voir Georges Langlois, « Octobre en question », dans Jacques Ferron, Une amitié bien particulière : lettres de Jacques Ferron à John Grube, Montréal, Boréal, 1990, p. 195-225. ...
Chronique d'une insurrection appréhendée, nouvelle édition
... Dans une lettre au leader étudiant français Jacques Sauvageot datée du 22 août 1968, juste avant son départ, Charron explique la démarche de l’UGEQ : « Nous sommes convaincus d’entrer dans ce mouvement de la même façon que tous nos camarades du monde ...
... Cité dans Jacques Castonguay, Les opérations de l’armée et la crise d’Octobre, Outremont, Carte blanche, 2010, p. 29. ...
... Jacques Cossette-Trudel, « L’histoire séquestrée », Liberté, vol. 32, no 5, octobre 1990, p. 35. 17. La Presse, 6 octobre 1990. 18. Cité dans ibid., p. 276. ...
... Le premier groupe tourne autour de Jacques Lanctôt, de sa sœur Louise et du conjoint de cette dernière, Jacques Cossette-Trudel. ...
... Il s’adjoint les services de Jacques Geoffroy, ancien camarade de l’UGEQ et frère du felquiste Pierre-Paul Geoffroy, qui a l’insigne honneur d’avoir reçu la plus longue peine d’emprisonnement de l’histoire du Commonwealth73. ...
... Il est alors clairement établi que le groupe de Jacques Lanctôt est à l’origine du cambriolage79. Pour réussir un tel coup, la cellule felquiste aurait-elle reçu l’aide d’étudiants ou du personnel de l’Université de Montréal ? ...
... 80 CHRONIQUE D’UNE INSURRECTION APPRÉHENDÉE En octobre, même s’ils se tiennent loin des opérations du groupe de Jacques Lanctôt, les membres du Quartier latin suivent de très près les événements. ...
... Détenu une journée, Jacques Geoffroy se sent traqué par les forces de l’ordre. Il décide d’entrer dans la clandestinité, le temps que les choses se tassent. ...
... Avec Michel Chartrand, Pierre Vallières, Charles Gagnon et Jacques Larue-Langlois, il dut subir un long procès (procès des cinq). ...