Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

Chronique des Ainsse d'Amérique (La)

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... jour le 20 février suivant, sept mois et demi après le mariage, mais qu’importe ; marraine, la grand-mère Françoise Alavoine, veuve Chevalier, et parrain, le sergent Alexis Séjourné dit Sanschagrin. ...

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... .], le nourrir, le coucher, le blanchir, le raccomoder et le traiter humainement ». ...

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... L’intention était claire : accroître l’influence de la colonie sur les tribus de la région, développer la traite des fourrures au bénéfice des marchands anglais et favoriser l’installation de colons. ...

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... Les hostilités dureront sept ans. ...

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... Bien qu’on ignore les résultats à venir des discussions amorcées entre Paris et Londres en vue de la signature d’un traité de paix, les affaires redémarrent. ...

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... Il découvre aussi la présence des Anglais : les troupes de la nouvelle garnison et des marchands attirés par la traite des fourrures. ( 118 ) ...

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... Des fournisseurs de l’armée britannique se recyclent dans la traite, engagent des Canadiens, indispensables en ce domaine, et prennent la route de Michillimakinac et de Détroit ; de 34 qu’il était en 1760, le nombre d’engagés monte à 214 l’année suivante ...

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... Les deux hommes et leurs engagés débarquent avec une cargaison de marchandises de traite à Michillimakinac, encore sous l’autorité de Langlade, peu avant l’arrivée de la garnison anglaise. ...

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... le grenier de sa maison ; un groupe d’Indiens le découvre, lui laisse la vie sauve et repart avec ses réserves de blé d’Inde, 50 ballots de pelleteries et toutes ses marchandises de traite. ...

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... Il réprouve aussi les nouvelles règles de la traite qui mettent fin au régime des présents, armes, poudre et rhum, notamment, et obligent d’effectuer les échanges de fourrures et de marchandises en des lieux déterminés, là où l’armée tient garnison. ...