... À son départ, l’abbé Payet se voit confier une requête adressée à monseigneur Jean-Olivier Briand, évêque de Québec. ...

Chronique des Ainsse d'Amérique (La)
... L’abbé Payet informe les habitants que monseigneur de Québec, faute de pouvoir leur envoyer un prêtre résident, lui a demandé de desservir Michillimakinac à l’occasion ; il les invite à former un conseil de fabrique chargé de gérer les biens de la ( 198 ...
... Le rapport de la commission, en date du 24 juin 1788, conclut qu’il y a matière à une enquête judiciaire et Scott l’expédie à Québec au gouverneur Dorchester. Joseph n’a plus qu’à attendre. ...
... Des comités de réforme se mettent en place à Québec et à Montréal et approuvent des résolutions à la défense de leurs revendications. ...
... transmet des extraits d’une lettre du gouverneur Dorchester lui signifiant qu’il était souhaitable que Dease et Ainsse viennent s’expliquer sur leurs conduites à Michillimakinac et d’agir en conséquence ; John Johnson lui donne l’ordre de se rendre à Québec ...
... Dease et Ainsse ont déjà quitté Québec, le 2 juin. Tous deux ont sollicité l’autorisation de retourner à leurs affaires, sans attendre la fin des travaux du comité. Le gouverneur a donné son autorisation, avec l’aval du président du comité. ...
... La Province of Quebec est partagée entre deux nouvelles colonies, le Haut-Canada, peuplé de 40 000 habitants d’origine britannique, et le Bas-Canada dont la population s’élève à 160 000 habitants, essentiellement d’origine française. ...
... En août 1791, Dorchester quitte Québec pour l’Angleterre afin de se faire expliquer les dispositions de l’Acte constitutionnel, de recevoir sa commission de gouverneur général des deux nouvelles colonies et de prendre connaissance de ses instructions, ...
... de Lisle assume les fonctions de maître depuis 1790 ; le garde de sceau, ou secrétaire, est Jacques-Clément Herse, compagnon de Fleury Mesplet venu ouvrir une imprimerie à Montréal, au printemps 1776, alors que les troupes américaines occupaient la ville ...
... En effet, en juin 1797, son père le retire du collège et le confie à son cousin germain, Jean-Marie Mondelet, le fils de Françoise Ainsse et de Dominique Mondelet qui s’étaient épousés à Québec en 1759 ; Jean-Marie a ouvert une étude de notaire à Saint-Charles ...