Chute de la Nouvelle-France (La)

Chute de la Nouvelle-France (La)

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... Déjà, son titre annonce aux résidents de la petite ville que la colonie change de statut – on ne confie généralement que des « comptoirs » africains ou indiens à des directeurs. ...

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... Arnaud Balvay, L’Épée et la Plume : Amérindiens et soldats des troupes de la marine en Louisiane et au Pays d’en Haut (1683-1763), Québec, Les Presses de l’Université Laval, 2006, p. 211. 38.  ...

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... Les marchandises venues d’Europe se sont faites rares, d’autant que La Nouvelle-Orléans n’est pas un grand port et que son emplacement à l’intérieur des terres rend la ville difficile d’accès. ...

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... , Québec, Septentrion, 2009. ...

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... Au-delà des cibles évidentes que constituent les villes et tout particulièrement Québec, ils découvrent le monde rural qui représente l’autre composante fondamentale du paysage de la vallée du Saint-Laurent et qui regroupe la très grande majorité de la ...

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... Alain Laberge, «  L’occupation de la vallée laurentienne  dans Yves Frenette, », Étienne Rivard et Marc Saint-Hilaire (dir.), La Francophonie nord-américaine, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 2012, p. 31-36. 2.  ...

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... La nécessité de fortifier les villes de Montréal et de Québec entraîne le recours à des corvées militaires auxquelles les miliciens sont tenus de contribuer7. ...

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... Les autorités décrètent alors la mobilisation générale de la colonie, de même que l’évacuation des paroisses rurales en aval de Québec. ...

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... Les premiers épisodes ont lieu en juillet, mais l’opération devient systématique en août jusqu’à la capitulation de Québec, le 18 septembre15. ...

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... fin avec la capitulation de Montréal, le 8 septembre 1760, quand se réalise la jonction entre les armées de Jeffery Amherst venues du haut Saint-Laurent, de Havilland qui a descendu le Richelieu et de James Murray qui a remonté le Saint-Laurent depuis Québec ...