Chute de la Nouvelle-France (La)

Chute de la Nouvelle-France (La)

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... Par la signature de son auteur, celui-ci est démasqué  simple otage détenu à Québec, il est désormais : considéré comme un espion. En octobre 1756, le roi demande donc que soient jugés pour haute trahison à Montréal le Virginien R. ...

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... -A. de Bougainville déplore dans son journal le manque de surveillance de ces prisonniers  : « Cette évasion fera peut-être qu’on veillera avec un peu d’attention à cette foule qui, dans Montréal et Québec, sont aussi libres qu’à Boston83. » L. ...

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... Il obtempère et, en juillet 1759, le marquis de Montcalm est furieux de le retrouver auprès de ses assiégeants, comme il l’indique dans son journal : « Q[ui] croiroit que cet homme étoit libre dans Québec, au point de s’être évadé  C’est lui qui, ? ...

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... MacLeod, « Treason at Québec », art. cit., p. 56. ...

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... Une fois à bord, ils annoncent au capitaine que dix-neuf navires de ravitaillement français descendent le fleuve et sont attendus à Québec le soir même. ...

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... La basse ville est attaquée, l’ennemi vient à l’anse des Mères99.  ...

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... À Québec, les troupes du roi de France manquent surtout de soldats, et non d’informateurs dont elles sont, à l’inverse de l’Angleterre dans la région et grâce à 100.  ...

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... Un mémoire écrit après la prise de Québec invite même ouvertement à recourir aux jésuites  «  : Pour se procurer des espions affidés, on pourrait s’adresser aux jésuites. ...

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... La chose apparaît sous un angle différent si l’on s’intéresse aux guerres dites «  coloniales  et notamment à la guerre de la », Conquête, marquée par le siège de Québec. ...

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... En témoignent encore les forteresses espagnoles du Nouveau Monde ou les remparts de Québec et de Louisbourg, de même que les archives conservées sur les fortifications aujourd’hui disparues5. ...