... juive à Québec, soit celle d’Esther Brandeau qui, née près de Bayonne vers 1718, arriva ici en 1738 sur le Saint-Michel et qui, à cause de ses incartades et de ses habitudes peu communes pour le temps — elle était habillée en homme et portait le nom de Jacques ...

Cimetière juif de Québec (Le)
... du XXe siècle, un courant antisémite circulait chez certains intellectuels à la suite de la lecture d’auteurs tels que Édouard Drumont, courant alimenté par un prosélytisme dont on vit une manifestation particulière lors de la cause entre le notaire Jacques ...
... En 1907, la communauté acquiert de Georges Belleau un terrain dans le quartier Jacques-Cartier, et c’est désormais au 25 de la rue SainteMarguerite (devenue rue Saint-Laurent en 1915) que les Juifs de Québec auront une synagogue et une école nommée Hebrew ...
... Smiley, un premier cimetière pour les Juifs aurait existé le long de la rue Saint-Joseph, là où se trouve aujourd’hui l’église Notre-Dame-de-Jacques-Cartier. ...
... La présentation et l’utilisation des données « Ces pierres qui parlent » selon l’expression de David Rome et de Jacques Langlais rendent un double témoignage : – un témoignage de la présence d’une communauté juive à Québec, de son rôle dans la société ...
... ROME, David, LANGLAIS, Jacques et HALLEL, Edward. Les pierres qui parlent. Deux cents ans d’enracinement de la communauté juive au Québec, Québec, Septentrion, 1992 ; 143 p. ROME David, NEFSKY, Judith et OBERNEIR, Paule. Les Juifs du Québec, Québec. ...
... David Rome, Jacques Langlais, photographies d’Edward Hillel, Les pierres qui parlent/ The Stones that speak, illustré, grand format, 1992, 144 pages. ...