Cinéma américain (Le)

Cinéma américain (Le)

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... – Non, on est passé à travers sept versions du scénario et, même arrivés au stade final, et même le film terminé, nous n’avions aucune idée que le public réagirait de cette façon. – Comment expliquez-vous cet extraordinaire engouement du public ? ...

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... Si le rôle de Willie dans Indiana Jones et le temple maudit est dessiné à gros traits, il reste que cette place de moteur comique qu’elle occupe avait rarement été confiée à des femmes dans le cinéma populaire, depuis cette grande époque. ...

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... taquins et refusent d’expliquer leur art (en 2001, Joel a répondu par cette boutade à la question de la journaliste-productrice Smriti Mundhra sur sa créativité : « J’imagine que c’est mieux que de ramasser des poubelles comme métier. ») –, quelques traits ...

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... Cette américanité gentiment moqueuse de leur cinéma est assurément un de leurs traits caractéristiques. ...

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... Ils retrouvent aussi leurs acteurs fétiches : Steve Buscemi en malfrat idiot, Frances McDormand en policière enceinte de sept mois qui enquête sur une histoire de kidnapping organisé par le mari de la victime. ...

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... Le film ne traite pas cette mort comme un événement anodin. La tragédie reste bien présente, la réalité n’est pas transformée en espace de jeu vidéo où la vie n’aurait plus aucune valeur. ...

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... En plus de sa Palme d’or à Cannes et des millions de dollars qu’il rapporte, Pulp Fiction est nommé pour sept Oscars et gagnera celui du meilleur scénario original. ...