Conventions nationales acadiennes (Les)

Conventions nationales acadiennes (Les)

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... -A., Dictionnaire biographique du clergé canadien-français, Tome II, 1908, p. 188 ; L’Év. 26 oct. 1893, p. 3 ; L’Év. 7 sept. 1905, p. 1-2 ; L’Év. 28 janvier 1909, p. 2.) ...

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... Mathieu traite également, avec humour, en citant Charles Quint, de l’utilité pratique et du bienfait du bilinguisme en donnant de nombreux exemples au Canada et ailleurs. ...

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... À l’âge de sept ans, il entre à l’école de Saint-Louis. À 14 ans, il est envoyé au collège anglais de Saint-Dunstan, à Charlottetown. Ses parents n’ont pas les moyens de l’envoyer au Québec et le Collège Saint-Joseph n’existe pas encore à l’époque. ...

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... Dès 1884, Mgr Rogers manifeste son mécontentement par rapport au Collège qui, selon lui, n’enseigne pas suffisamment l’anglais, précisant que les Acadiens n’ont pas le même droit à leur langue que les Canadiens français qui, eux, ont des traités à l’appui ...

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... À l’âge de sept ans, ses parents déménagent à Pictou, en NouvelleÉcosse, et il y suit des cours en anglais. Selon Placide Gaudet, c’est au Pictou High School qu’il change son nom de Vigneau à Veniot suivant le conseil d’un des instituteurs. ...

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... BOUDREAU, Ephrem (1981). « Domitien Robichaud, un Acadien distingué (18811964) », Les cahiers de la Société historique acadienne, vol. 12, no 3, sept., p. 110-117. ...