... Gingras & Cie, 1885, p. 169 ; Ville de Québec – Répertoire des toponymes – Fiche toponymique www. ville.quebec.qc.ca. ...

Corriveau (La)
... Le bourreau qui s’occupe de la condamnée est, selon toute vraisemblance, Benjamin Gable, le seul exécuteur des hautes œuvres officiant à Québec entre 1762 et 17649. ...
... Lors des événements du printemps 1763, c’est un certain Benjamin Gable qui est bourreau à Québec. Il s’agit d’ailleurs du premier bourreau connu du Régime anglais. ...
... Le lendemain ou surlendemain, la sinistre dépouille bardée de fer est acheminée jusqu’au quai de Québec (vraisemblablement au Cul-de-Sac ou à la pointe à Carcy) afin de traverser le fleuve. La destination ? ...
... En effet, la peine capitale est assez peu appliquée au Québec sous l’administration française : entre 1712 et 1748, on compte environ 1,1 exécution pour 100 000 personnes par année. ...
... Par exemple, à Montréal en 1718, trois individus reconnus coupables de faux-monnayage sont condamnés à « être pendus et étranglés jusqu’à ce que mort s’ensuive à une potence qui pour cet effet sera dressée en la place d’Armes de cette ville. ...
... Par exemple, Marie-Anne Sigouin, jugée et trouvée coupable d’infanticide en 1732, est condamnée à être pendue sur la place de la basse-ville de Québec, à la suite de quoi le bourreau disposera du corps en le jetant à la voirie. ...
... Dans certains cas extrêmes, et pour des motifs qui demeurent obscurs, il est laissé littéralement à l’abandon citons par exemple le cas de John : Breads, exécuté et suspendu au gibet pour homicide dans la petite ville anglaise de St. Mary en 1742. ...
... L’adoption du traité de Paris le 10 février 1763 – et dont on vient à peine de recevoir la nouvelle dans la colonie, en ce printemps tourmenté – offre au gouverneur de Québec une occasion d’apaiser les mœurs Murray décide d’accorder la : permission ...
... Archives du Séminaire de Québec, fonds Verreau, 42, no 11, rapporté dans Lacourcière, « Le triple destin », p. 232. 34. ...