Courtiers et entrepreneurs

Courtiers et entrepreneurs

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... de Québec, de Saint-Roch et de Paris, mais aussi 143 280 $ d’actions de la Caisse d’économie Notre-Dame de Québec et 30 000 $ du Trust Général du Canada. ...

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... Une des sources de leurs déboires serait les affaires de la Compagnie de Navigation Québec & St. Laurent. ...

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... ., un grossiste en céréales, farines, charbon et bois de ville Saint-Louis, dont il devient gérant. Elle change de nom, vers 1899, pour la Beaubien Produce & Milling Co. Il en assume également la gérance jusque vers 1904. ...

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... Beaubien joue un rôle élargi dans le monde du courtage francophone au Québec. ...

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... Dupuis poursuit ses affaires à Québec, alors que Bruneau quitte cette ville et s’établit à Montréal en 1903 pour y exercer les activités de courtage de la firme. Dupuis fait l’acquisition de son propre siège en 1908, qu’il conserve jusqu’en 1915. ...

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... carrière est courte et, dès 1907, son siège est transféré et Dumont Laviolette disparaît des annuaires Lovell de la ville de Montréal. ...

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... Cette entreprise intègre les services ferroviaires de Québec vers la Côte de Beaupré, la production et la distribution d’électricité et de gaz à Québec, de même que les services de tramways électriques urbains120. ...

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... Alphonse Barry et James Augustin McManamy ouvrent à Québec en 1912 une maison de courtage. Alphonse Barry naît, en 1883, dans la famille d’un cordonnier de Québec (Edmond Baril ou Barry à partir de 1891). ...

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... Barry et McManamy restent solidement établis sur le marché de la Ville de Québec et jouent un rôle déterminant comme port d’attache de la petite Bourse de Québec, qu’Alphonse Barry préside de 1912 à 1918 et qui est hébergée dans les locaux de Barry & ...

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... Il envoie un représentant à Québec, J. Ernest Savard, qui fera une belle carrière de courtier dans les 129. ...