Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

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... J’ai retracé le passage de trois femmes de la première génération chez les Ursulines de Québec où les ouvrages de dames étaient enseignés. ...

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... Deux couturières de cette génération venaient de Québec, où les sœurs de la Congrégation ont aussi tenu des écoles, et l’une était de TroisRivières39. ...

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... L’engagement notarié de jeunes filles chez des femmes à Québec et chez des hommes à Montréal est-il un signe de disparité régionale et, si oui, quelle en serait la cause ? ...

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... Aucun des quinze contrats qui concernent mes couturières n’engageait la domestique ou l’apprentie chez une couturière, que ce soit à Montréal ou à Québec. ...

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... Au contraire de celles qui étaient placées chez des couturières de Québec, une seule apprentie de Montréal a payé le tailleur pour son apprentissage. Le 50. La moyenne et la médiane se situent à 15,0 ans. ...

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... Une seule autre couturière a versé 60 livres pour trois années d’engagement chez un couple de Québec formé par le tailleur Jacques Cayla et la tailleuse Claude Vigoureuse56. Il s’agit de la future tailleuse Madeleine Normand. ...

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... Habituellement, dans les grandes villes européennes où il existait des communautés de métiers, les femmes fabriquaient des vêtements de femmes ou d’enfants et les hommes produisaient les habits des gens de leur sexe. ...

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... On pouvait se les procurer par l’entremise de revendeuses publiques dans les villes ou lors de criées ou d’encans faits à la suite du décès d’un individu. ...

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... Des auteurs ont présumé que les tailleurs de Montréal et de Québec, ainsi que les sœurs grises, confectionnaient les uniformes des troupes de la colonie à partir 66. ...

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... Règlements généraux du Conseil supérieur de Québec, pour la police. Article XXXIX. » ARCS-Q. 74. « 1er février 1683. ARCS-Q, pour la police. Article II. » ...