... Soulignons que divers membres des familles Tessier, Biron et Leduc étaient très engagés dans la traite à chaque génération. ...
Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... Les membres de la famille étendue faisaient plus souvent appel aux couturières de la première génération et elles l’ont fait à quatre, six et même sept reprises. ...
... À compter de l’âge de sept ans, Thérèse Tonty, fille d’officier, est devenue la marraine de cinq Amérindiens algonquins ou témiscamingues. Marie Anne Trottier Desauniers a été la marraine d’un petit Amérindien du sault Saint-Louis. ...
... Seulement quinze des cinquante-sept mères (26,3 %) « renvoient l’ascenseur ». Le phénomène est d’ailleurs à la baisse au cours du xviiie siècle. ...
... Les sœurs Desauniers ont promis à la mère de Marie Anne de « lui fournir bois, manger, feu, gîte et luminaire, [de] l’entretenir de hardes et linges pendant le dit tems, [de] la traiter doucement et humainement comme il appartient ». ...
... Compte tenu des petits nombres, les remariages n’ont pas été traités à part. 49. Il varie entre 81,2 %, 94,5 %, 80,9 % et 61,9 %. 50. Données tirées de Nathalie Pilon, Le destin…, p. 75 ; Josette Brun, Le veuvage…, p. 54-55. ...
... Dix-sept contrats concernent des remariages. Le notaire de cinq couples spécifie qu’il se conforme à l’édit ; dans les trois autres cas, la formulation est la même, mais l’édit n’est pas mentionné. ...
... Les apports combinés de quatre couples sont connus ainsi que les apports de sept hommes et de dix femmes de couples différents. Pierre Hervé a apporté une terre de 84. Nathalie Pilon, Le destin…, p. 78. 85. ...
... Quatre épouses ont vécu jusqu’à 65 ans et sept d’entre elles ont atteint 70 ans. Plus des deux tiers de ces femmes ont dépassé leur espérance de vie individuelle de dix à trente ans. ...
... Les autres couturières, malgré un nombre élevé de grossesses, ont dépassé leur espérance individuelle de cinq à vingt-sept ans, la majorité des écarts se situant autour d’une douzaine d’années. ...