... Les mères sont Marie-Clémence Bouchard dit Lavallée et Marguerite Renaud. ...

Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... de coton fin, une jupe de calmande [satin de laine], une paire de bas drapés ou fins, une paire de souliers françois et quatre chemises de toile commune58 ». ...
... Voir à ce sujet François-Joseph Ruggiu, L’individu et la famille dans les sociétés urbaines anglaise et française (1720-1780), Paris, PUPS, 2007, p. 25-26. ...
... Il y a trois marchands, un engageur et sept artisans, dont le tailleur d’habits Giguère dit Lavallée. Pour sa part, Michel Kérigou de Fily fait partie de la noblesse d’épée. ...
... Louis Lavallée, La Prairie en Nouvelle-France. 1647-1760. Étude d’histoire sociale, Montréal et Kingston, McGill-Queen’s University Press, 1992, p. 142. 20. ...
... Le parrain était François, le frère de la couturière Catherine Lefebvre Duchouquet. Bien qu’ils étaient présents dans les villes, les Noirs, esclaves ou libres, étaient une minorité dans la population. ...
... Par exemple, les archives judiciaires de Montréal font état de la requête de François et de Pierre Serat dit Coquillard concernant leur sœur 27. ...
... (histoire), Université Laval, p. 232-233. 81. Louise Dechêne, Habitants… (1988), p. 420-421. ...
... Il donnerait aussi à chacun, durant quatre années, « une paire de souliers françois » par an. Le sieur Parant donnerait une vache et nourrirait le jeune couple Poiriau-Bellefeuille durant un an. ...
... La seule fille noble de l’échantillon, Thérèse Tonty, était plus âgée d’un an que François Desjordy Cabanac, l’officier qu’elle a épousé à 30 ans bien sonnés. ...