Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Page 53

... Les mères sont Marie-Clémence Bouchard dit Lavallée et Marguerite Renaud. ...

Page 59

... de coton fin, une jupe de calmande [satin de laine], une paire de bas drapés ou fins, une paire de souliers françois et quatre chemises de toile commune58 ». ...

Page 79

... Voir à ce sujet François-Joseph Ruggiu, L’individu et la famille dans les sociétés urbaines anglaise et française (1720-1780), Paris, PUPS, 2007, p. 25-26. ...

Page 82

... Il y a trois marchands, un engageur et sept artisans, dont le tailleur d’habits Giguère dit Lavallée. Pour sa part, Michel Kérigou de Fily fait partie de la noblesse d’épée. ...

Page 91

... Louis Lavallée, La Prairie en Nouvelle-France. 1647-1760. Étude d’histoire sociale, Montréal et Kingston, McGill-Queen’s University Press, 1992, p. 142. 20. ...

Page 102

... Le parrain était François, le frère de la couturière Catherine Lefebvre Duchouquet. Bien qu’ils étaient présents dans les villes, les Noirs, esclaves ou libres, étaient une minorité dans la population. ...

Page 106

... Par exemple, les archives judiciaires de Montréal font état de la requête de François et de Pierre Serat dit Coquillard concernant leur sœur 27. ...

Page 131

... (histoire), Université Laval, p. 232-233. 81. Louise Dechêne, Habitants… (1988), p. 420-421. ...

Page 135

... Il donnerait aussi à chacun, durant quatre années, « une paire de souliers françois » par an. Le sieur Parant donnerait une vache et nourrirait le jeune couple Poiriau-Bellefeuille durant un an. ...

Page 156

... La seule fille noble de l’échantillon, Thérèse Tonty, était plus âgée d’un an que François Desjordy Cabanac, l’officier qu’elle a épousé à 30 ans bien sonnés. ...