Création de l'industrie du film au Québec (La)

... La majorité des signataires du mémoire favorisaient un conseil de direction composé de douze membres, dont cinq seraient nommés par le ministre et sept représenteraient l’industrie. ...

... La seule question qui amena des bureaucrates du MAC à Ottawa fut la discussion à propos du traité de coproduction cinématographique France-Canada. Les intellectuels du Québec étaient tournés vers l’est – vers la France. ...

... Espérant recevoir un meilleur traitement médical pour sa femme arthritique, il laissa ses deux filles en Angleterre et retourna avec Betty à Ottawa en 1969. ...

... Seul Kamouraska de Claude Jutra reçut un traitement digne d’un long métrage. ...

... CHAPITRE 11  •  Tout ça pour ça : 1974-1975 277 sept ans, tandis que celui du Conseil des arts du Québec, fondé en 1962, s’était multiplié par 6 en douze ans38. ...

... Le ministre devait consulter ces cinq membres et en suggérer deux autres au lieutenant-gouverneur pour représenter les consommateurs, ce qui portait le total des membres à sept. ...

... Le 17 mai, une lettre de sept pages fut livrée en main propre à l’éditeur du Toronto Star11. ...

... Ottawa semblait embourbé dans sa conception politique favorisant un traitement égalitaire d’un bout à l’autre du pays plutôt que les exigences économiques d’une industrie du film moderne et concentrée. Le Québec fit un pas en avant. ...

... En tout, l’étude allait traiter de quatre domaines de préoccupation : consolider les entreprises « indispensables à la vitalité de la création culturelle » ; 27.  ...

... Autour de la table se trouvaient Laurin, le ministre des Communications, Jean-François Bertrand, et sept autres. Tous venaient du MAC, des Communications ou de l’Éducation. Omission intéressante, personne ne venait du ministère des Finances. ...